Combien d’années séparent ces deux monstres ?
Un bon point pour le premier qui répond 🙂
Update: Les vainqueurs sont:
JJL et Julius.
Ils gagnent un backlink 😉
Créateur de blog de Nicolargo, je suis un partisan des logiciels libres et un passionné des nouvelles technologies.
Combien d’années séparent ces deux monstres ?
Un bon point pour le premier qui répond 🙂
Update: Les vainqueurs sont:
JJL et Julius.
Ils gagnent un backlink 😉
Je viens de finir l’installation de la nouvelle distribution Linux Fedora Core 7. Pour cela j’ai commencé par récupéré le DVD d’installation sur un réseau P2P (pour une version PC il faut sélectionner le fichier Fedora-7-i386.torrent). Caractéristique du PC: PIV 2 Ghz, 1 Go RAM, DD 80 Go, Carte ATI 9200.
Comme pour toutes les installations de distribution Linux j’ai utilisé le tutorial How To Forge (en anglais mais il y a de nombreuses copies d’écrans). Je l’ai bien entendu adapté à mes besoins avec notamment l’ajout du repos de Remi, toujours aussi indispensable. Pour cela il faut suivre la procédure suivante:
# su -
# wget http://remi.collet.free.fr/rpms/remi-release-7.rpm
# rpm -ivh remi-release-7.rpm
La mise à jour du système en prenant en compte ce nouveau repos se fera de la manière suivante:
# yum --enablerepo=remi update
Bonne nouvelle également pour les amateurs de bureau 3D. L’installation de Beryl (même si elle ne se fait pas en standard) est très simple et marche parfaitement avec ma configuration (alors que je n’avais jamais réussi à la faire fonctionner sous Fedora Core 6). J’ai juste eu à faire:
# yum install beryl
Il ne reste alors plus qu’a lancer le Gestionnaire Beryl (à partir du menu Applications/Outils système) et le gestionnaire de fenêtre Emerald Theme Manager (à partir du top menu Système/Préférences).
J’ai également testé une mise à jour machine de Fedora Core 6 vers Fedora Core 7. Je n’ai à l’heure actuelle pas rencontré un seul problème… bref du bon boulot pour l’équipe Fedora !
Depuis peu il n’est plus nécessaire d’envoyer son fichier sitemap à Google pour que celui si soit pris en compte par le moteur de recherche. Pour rappel, sitemap est un fichier XML qui décrit la cartographie de votre site Web (plus d’information sur cette page).
Maintenant, c’est le robot de google (la petite bête qui regarde régulièrement votre blog) qui va s’occuper de télécharger le fichier sitemap.xml pour vous. Pour cela, il faut suivre la procédure suivante:
Il faut éditer le fichier robots.txt qui doit se trouver à la racine de votre site.
Ajouter la ligne suivante:
Sitemap: http://exemple.com/sitemap.xml
PS: il faut remplacer l’URL précedente par le chemin vers votre page sitemap.xml
Sauvegarder le fichier
En bonus, cette méthode marche aussi avec les autres moteurs de recherche: Yahoo, MSN, Ask…
Voici une liste utile de différents sites offrant des images libre de droit pour illustrer vos articles. Je me suis basée sur un article du blog de Lorelle et j’ai sélectionné les sites les plus pertinents (c’est-à-dire vraiment gratuit (tout au moins pour une qualité web), avec un moteur de recherche et qui donne des résultats…).
Donc sans plus attendre la liste:
Si vous avez de bonnes adresses n’hésitez pas à laisser un commentaire, je tiendrais la liste à jour.
Suite à ce premier article décrivant les fonctions de base, voici un complément d’informations sur l’utilisation du logiciel Iperf.
Par défaut, les buffer d’écriture et de lecture sont the 8000 octets. On peut utiliser la fonction ‘-l’ pour modifier cette taille (taille minimum: 12 octets).
Par exemple, pour generer des paquets UDP (mais cela fonctionne aussi avec le protocole TCP) avec des buffers (in/out) de 40 octets.
Serveur:
# iperf -s -u -l 40
Client:
# iperf -c <adresse IP client> -u -l 40
Remarque: cela a pour effet de produire sur le réseau des paquets UDP de 40 octets (en tête UDp inclus), ce qui correspond à la moyenne de la taille des paquets utilisés avec les protocoles de VoIP de type SIP ou H.323).
Il est parfois utile de connaître la taille du MTU sur un chemin réseau (par l’exemple pour customize son stack IP en fonction de sa connection Internet). Iperf permet, grâce à l’option ‘-m’ d’afficher cette valeur dans le rapport.
Serveur:
# iperf -s -m
Client:
# iperf -c <adresse IP client> -m
————————————————————
Client connecting to 192.168.29.1, TCP port 5001
TCP window size: 65.0 KByte (default)
————————————————————
[ 3] local 192.168.29.157 port 51850 connected with 192.168.29.1 port 5001
[ ID] Interval Transfer Bandwidth
[ 3] 0.0-10.0 sec 111 MBytes 93.0 Mbits/sec
[ 3] MSS size 1448 bytes (MTU 1500 bytes, ethernet)
Il est alors possible de tester le réseau en fixant cette valeur avec l’option ‘-M’:
Serveur:
# iperf -s -M 40
Client:
# iperf -c <adresse IP client> -M 40
Par défaut, lorsque l’on utilise le protocole UDP (option ‘-u’), les flux vont du client vers le serveur. Pour faire un test bi-directionnel (c’est à dire avec 2 flux simultanés, client->serveur et serveur->client), il suffit d’utiliser l’option ‘-d’ au niveau du client. Si vous souhaitez que ce test se fasse de manière non simultané, il faut utiliser l’option ‘-r’ en lieu et place de l’option ‘-d’.
# iperf -s -u
Client:
# iperf -c <adresse client> -u -d
… Client report:
[ 5] 0.0-10.0 sec 1.25 MBytes 1.05 Mbits/sec 13.697 ms 0/ 893 (0%)
[ 7] Server Report:
[ 7] 0.0-10.0 sec 1.25 MBytes 1.05 Mbits/sec 0.027 ms 0/ 891 (0%)
Si vous souhaitez que Iperf génére non pas 1 seul flux réseau entre le client et le serveur mais plusieurs. Il faut fixer le nombre avec l’option ‘-P’. Par exemple pour génerer 5 flux UDP simultanés entre le client et le serveur, il faut utiliser les commandes suivantes:
Serveur:
# iperf -s -u
Client:
# iperf -c <adresse IP client> -u -P 5
Si votre réseau est compatible avec la QoS Diffserv, vous pouvez taguer le champs DSCP les paquets générés par Iperf en utilisant l’option -S:
# iperf -c <adresse IP client> -u -S 0x99
Par défaut, le port d’écoute du serveur est le 5001 (UDP ou TCP). Pour le modifier (par exemple si vous devez traverser un Firewall ou vous n’avez pas la main, il faut utiliser l’option ‘-p’ sur le serveur et le client.
Par exemple pour utiliser le port HTTP (80):
Serveur:
# iperf -s -p 80
Client:
# iperf -c <adresse IP client> -p 80
Grande question qui hante les nuits des bloggers. Qui parle de moi (enfin de mon blog) dans le mond emagique de la blogosphére. Il existe un nombre incalculable de méthodes pour connaître ces références (que l’on trouve aussi sous le nom de « liens rentrants » ou « incoming links » en Anglais).
Comment on fait ?
Voici deux méthodes parmis d’autres.
La première est d’utiliser le site de Google spécialisée dans la recherche sur les blogs. Pour rechercher les réferences à mon blog, il suffit de saisir l’adresse suivante dans votre navigateur favoris.
http://blogsearch.google.com/blogsearch?q=link:http://blog.nicolargo.com
PS: remplacez blog.nicolargo.com par l’adresse de votre blog…
La seconde se base sur Technorati. On utilise l’URL suivante:
http://technorati.com/search/blog.nicolargo.com
A quoi ça sert ?
Il est toujours intéressant de savoir qu’on parle d’une de nos articles. Au delà du fait que cela flatte notre égaux, c’est également un bon moyen de se créer un réseau de blogs avec qui l’on a des intérêts communs.
Personnellement c’est également un bon moyen pour connaître de nouveaux blogs et lier de nouvelles relations.
C’est en sorte le lien qui vous relie à la blogosphére 😉
Ma distribution Linux favorite vient de sortir dans sa 7em version. Elle apporte de nombreuses amèliorations, comme, entre autres, une prise en charge plus exhausitive des drivers Wifi, la réunion des repos Core et Extras, Gnome dans sa version 2.18 (ou KDE en 3.5.6), le noyau Linux 2.6.21 et plus exotiquement la compatibililté avec la console Playstation 3 de Sony.
A l’heure de l’écriture de ce post les sites officiels pour le téléchargement sont saturés. Par contre il est possible (et je vous conseille, cela va assez vite !) d’utiliser le réseau P2P (torrent disponibles à l’adresse suivante: http://torrent.fedoraproject.org/).
Bon téléchargement et à bientôt pour un tutoriel d’installation.
Suite à l’article sur l’installation d’Ubuntu 7, voici un nouveau post sur la gestion des ports (packages logiciels) sous cette distribution de Linux.
Ubuntu utilise APT (« advanced packaging tool ») pour gestion de ces ports. C’est un gave de qualité vu que c’est le même système utilisé par la distribution Linux Debian reconnue comme très robuste sur le sujet. APT a, de plus, le bon goût d’être distribué sous licence GNU.
APT est utilisé pour le maintient à jour du système mais aussi pour l’installation/déinstallation de logiciels.
Mise à jour du système
Ubuntu est une distribution qui s’adresse à une population « non geek« . Elle dispose donc d’une interface graphique lancée en tache de fond qui se charge d’indiquer à l’utilisateur, les mises à jour disponible et de les installer grâce à un simple click de souris.
Par exemple au premier lancement de la machine fraichement installée, on peut avoir ce genre de fenêtre:
Bien qu’optionnelle, cette application est très utile pour maintenir un ordinateur à jour (notamment en terme de failles de sécurité).
Mise à jour de la liste des ports
Cette opération doit être faite régulièrement:
# sudo apt-get update
Installation d’un logiciel
En passant par un terminal, il faut saisir la ligne de commande suivante (par exemple pour installer ntop):
# sudo apt-get install ntop
Les dépendances (c’est à dire les ports nécessaires au bon fonctionnement du port à installer) seront installées automatiquement.
Suppression d’un logiciel
En passant par un terminal, il faut saisir la ligne de commande suivante (par exemple pour deinstaller ntop):
# sudo apt-get remove ntop
Les dépendances (c’est à dire les ports nécessaires au bon fonctionnement du port à deinstaller) seront deinstallées automatiquement.
Mise à jour automatique du système
Si comme tout bon geek qui se respecte, vous ne voulez pas utiliser l’interface graphique décrite ci-dessus pour la mise à jour du système, vous pouvez utiliser la commande suivante:
# sudo apt-get upgrade
Après Fedora et FreeBSD, voici le venu le temps du tutoriel d’installation de Ubuntu 7 (nom de code Feisty Fawn). Distribution Linux très à la mode, qui va être prochainement fournie en standard sur certaines configurations Dell.
Tout d’abord on commence par récuperer l’image ISO de l’installation (soit par téléchargement ou en demandant un ou plusieurs CD gratuits). Une fois l’image gravée sur un CD, on l’insére dans le ecteur, on redémarre le PC et c’est partie pour l’installation !
Etapes à suivre pour une installation standard
Lorsque que le menu principal s’affiche, on sélectionne:
Start or install Ubuntu (Démarrer ou installer Ubuntu)
Après quelques minutes, une interface graphique Gnome s’affiche, on comprend alors que le CD d’installation est en fait un « live CD ». On se retrouve donc dans un environnement compleinement fonctionnel. Nous poursuivons donc l’installation en cliquant sur l’icone Install (Installer) se trouvant sur le bureau.
Après selection de la langue d’installation,
du fuseau horaire,
du type de clavier,
du choix de la partition (disuqe dûr) ou vous voulez installer Ubuntu,
optionnellement importer les comptes utilisateurs existants (ne rien faire la plupart du temps),
créer les comptes utilisateurs par défaut (autre que root…),
Après une dernière confirmation, on lance l’installation…
Il ne reste plus qu’a aller prendre un café… ou deux… ou trois (si votre PC est un un peu lent)…
Il ne reste plus qu’a cliquer sur le bouton Redémarrer maintenant et le tour est joué pour la partie installation !
Quelques bouquins sur le sujet:
Bientôt d’autres articles sur la configuration de la bête…
FreeBSD offre une gestion des ports (applications packagées pour FreeBSD) simple et efficace. Lors de l’installation d’un système FreeBSD, il faut tout d’abord veiller à installer les sources des ports. A partir de là, on obtient dans le répertoire /usr/ports une arborescence contenant la liste des applications disponibles. Ces applications sont classées par thème: net, multimedia, scecurity… (voir la liste exhaustive ici).
Le maintient de votre système à jour (et donc de vos applications) passe par une gestion efficace de ce répertoire. Voici donc quelques commandes à utiliser.
Il faut utiliser la commande suivante (pour cela il faut être dans le répertoire /usr/ports):
# make search name=ntop
Va rechercher le port dont le nom contient le mot clès ntop.
Il faut se rendre dans le répertoire du port à installer (par exemple /usr/ports/net/ntop), puis taper la commande suivante:
# make config
(Cette commande est optionnelle)
# make install clean
On installe le port puis on efface les fichiers générés lors de l'installation
On peut également utiliser la commande qui suivante:
# portinstall net/ntop
Les dépendances (c’est à dire les ports nécessaires au bon fonctionnement du port à installer) seront installées automatiquement.
Il faut se rendre dans le répertoire du port à déinstaller, puis taper la commande suivante:
# make deinstall
On déinstalle le port
On peut également utiliser la commande qui suivante:
# pkg_deinstall ntop
Les dépendances seront déinstallées automatiquement.
Pour avoir la liste des ports installés, il faut saisir la commande suivante:
# pkg_info
Cette phase permet de maintenir une arborescence des ports (donc du répertoire /usr/ports) propre et à jour.
Pour nettoyer l’arborescence, on utilise:
# portsclean -DD -PP
On obtient la liste des ports mettre à jour grâce à la commande suivante:
# portversion -v -l
Pour mettre à jour l’ensemble des ports (opérations assez longue, dépend de la rapidité de votre accès Internet).
# cvsup /usr/local/etc/cvsup/ports-supfile
Pour réinstaller un port suite à une mise à jour de l’arborescence:
# make deinstall; make reinstall
A faire dans le répertoire du port (exemple: /usr/ports/net/ntop)
ou bien:
# portupgrade -r ntop-3.1_1
Pour aller plus loin, il exhiste de nombreux livres sur FreeBSD.