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Shinken découvre votre réseau pour vous

Si vous avez mis en place un serveur de supervision sur votre réseau, vous devez savoir que cette phase est souvent longue, fastidieuse et source d’erreur de configuration. Heureusement, la dernière version (0.6) de Shinken (le fork compatible Nagios développé de main de maitre par Jean Gabes) intègre un mesure de découverte de votre réseau.

Nous allons dans ce billet détailler les étapes pour utiliser ce module. Nous partons sur l’hypothèse ou vous avez un serveur Shinken/Thruk opérationnel. Si ce n’est pas le cas, j’ai développé un petit script shell permettant de faire cette installation pour vous.

C’est quoi donc ce module ?

Shinken-discovery est un programme qui va scanner les machines de votre réseau puis en déduire les services à superviser pour ensuite générer les fichiers de configurations pour Shinken.

Installation

Le scan de votre réseau se base sur le bien connu programme nmap qui doit donc être présent sur votre système.

Sur Debian / Ubuntu:

sudo aptitude install nmap

Sur Fedora:

yum install nmap

Le reste des programmes est inclue dans la version 0.6 (et supérieure) de Shinken.

Configuration

Si vous avez bien suivi, il faut maintenant dire à Shinken quel est le ou les réseaux à scanner. Cette configuration permet non seulement de découvrir des machines sur votre réseau local mais également (sous réserve de règles de filtrages compatible dans vos firewalls/routeurs) sur des réseaux distants.

La liste des réseaux à scanner est à configurer dans le fichier /etc/shinken/resource.cfg dans la variable $NMAPTARGETS$ (en fin de fichier):

# sudo vi /etc/shinken/resource.cfg

$NMAPTARGETS$=192.168.0.0/24 blog.nicolargo.com

Dans l’exemple ci-dessus je vais donc scanner:

  • 192.168.0.0/24: les 254 adresses de mon réseau local
  • blog.nicolargo.com: un serveur sur Internet que je surveille de près

Lancement de la découverte

Il suffit de saisir la commande suivante:

sudo shinken-discovery -o /etc/shinken/objects/discovery -r nmap

Selon la taille de votre réseau, cette opération peut prendre plus ou moins de temps (« I’m launching nmap »).

Comme on peut s’en douter, la configuration sera générée dans le répertoire /etc/shinken/objects/discovery. Le principal avantage est que l’on ne pert pas la configuration existante.

Note

Pour partir sur une nouvelle configuration basée uniquement sur le module de découverte (c’est à dire juste après une installation propre de Shinken), vous pouvez suivre la procédure suivante (au cas ou la configuration initiale est archivé dans /tmp/shinken-backup.tgz):

tar zcvf /tmp/shinken-backup.tgz /etc/shinken

sudo rm -f /etc/shinken/objects/hosts/*

sudo rm -f /etc/shinken/objects/services/*

sudo rm -f /etc/shinken/hostgroups.cfg

sudo touch /etc/shinken/hostgroups.cfg

sudo rm -f /etc/shinken/servicegroups.cfg

sudo touch /etc/shinken/servicegroups.cfg

/Note

On doit ensuite fixer les droits des fichiers générés:

sudo chown -R shinken:shinken /etc/shinken/objects/discovery

Prise en compte de la nouvelle configuration

Il suffit ensuite de redémarrer Shinken pour voir votre réseau:

sudo /etc/init.d/shinken restart

Si vous aviez déjà une configuration existante, il y a de forte chance pour que Shinken vous affiche un message d’erreur lors de la vérification de vos fichiers. Le résultat de la commande de check se trouve dans le fichier /tmp/shinken_checkconfig_result.

Par exemple, le module de découverte peut générer une entrée pour un host existant. Il faut alors éditer et ou supprimer le host en question pour que la configuration soit valide.

Conclusion

Ce billet n’est qu’une courte introduction à ce module qui peut être paramétré de manière beaucoup plus fine lors de la transformation du scan vers une configuration Shinken. J’aurai l’occasion de revenir prochainement sur ce vaste sujet.

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Mise à jour 0.4 du script d’installation de Shinken/Thruk

Aussi bien pour Shinken que pour les Thruk, les mises à jour s’enchaînent avec une fréquence importante ces derniers temps. Cela démontre un grand dynamisme sur ce projet !

J’ai donc adapté le script d’installation automatique du couple Shinken/Thruk en ajoutant pas mal de contrôle sur le bon déroulement des téléchargement ainsi qu’une adaptation pour aller chercher Thruk dans les archives si la version du script n’est plus téléchargeable dans le répertoire officiel.

La version 0.4 du script va installer:

  • Shinken 0.6
  • Thruk 1.0.2

La procédure pour installer ou mettre à jour votre serveur de supervision Shinken est toujours la même:

cd ~

rm -f shinkenautoinstall-debian.sh

wget http://svn.nicolargo.com/shinkenautoinstall/trunk/shinkenautoinstall-debian.sh

chmod a+x shinkenautoinstall-debian.sh

sudo ./shinkenautoinstall-debian.sh

Si tout se passe comme prévu, le script devrait afficher:

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Installation is finished

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Backup configuration file : /tmp/shinken-backup-20110513073545.tgz

Configuration file folder : /etc/shinken

Log file : /var/lib/shinken/nagios.log

Shinken startup script : /etc/init.d/shinken

Thruk startup script : /etc/init.d/thruk

Thruk web interface URL : http://sam:3000

Dans certain cas, notamment lors d’une mise à jour, il faut ensuite relancer Shinken:

sudo /etc/init.d/shinken restart

Pour remonter les éventuels bugs / nouvelles fonctions, merci d’utiliser le site officiel du script qui se trouve sur GitHub à l’adresse suivante: https://github.com/nicolargo/shinkenautoinstall.

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Mise à jour du script d’installation de Shinken/Thruk

Shinken, le système libre de supervision système et réseau compatible avec les fichiers de configurations et les plugins Nagios vient de sortir en version 0.6.

Cette nouvelle version apporte un lot impressionnant de nouveautés. Celle qui me semble la plus notable et sur laquelle je reviendrai dans un prochain billet est la découverte automatique de votre réseau. Plus besoin de faire toutes sa configuration à la main ! En effet, le « discovery module » permet d’automatiser cette tache fastidieuse.

Dès sa sortie, j’ai modifié le script d’installation automatique pour qu’il prenne en compte cette nouvelle version 0.6 de Shinken. J’en ai également profité pour modifier la version de Thruk (l’interface Web) pour utiliser la version 0.94.4. Je rappelle que le script a été développé et testé sur un système Debian mais il doit également fonctionner sous Ubuntu moyennant quelques modifications (lignes arch_version et perl_version).

Récupération du script d’auto installation de Shinken/Thruk

Il suffit d’ouvrir un terminal puis de saisir les commandes suivantes:

cd ~

rm -f shinkenautoinstall-debian.sh

wget https://raw.github.com/nicolargo/shinkenautoinstall/master/shinkenautoinstall-debian.sh

chmod a+x shinkenautoinstall-debian.sh

Lancement du script d’auto installation de Shinken/Thruk

Là encore rien de compliqué:

sudo ./shinkenautoinstall-debian.sh

Le script devrait se dérouler tout seul. Il vous demandera juste à un moment donnée de saisir le mot de passe que vous voulez affecter à l’utilisateur Unix shinken.

A la fin de l’installation, le serveur Shinken et l’interface Web Thruk seront lancées automatiquement.

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Installation terminée

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Fichiers de configuration : /etc/shinken

Fichiers de logs : /var/lib/shinken/nagios.log

Script de lancement de Shinken : /etc/init.d/shinken

Script de lancement de Thruk : /etc/init.d/thruk

Interface d’administration : http://@IP:3000

Arrivé à ce stade, vous pouvez éditer la configuration de Shinken (contenue dans le répertoire /etc/shinken) et vous connecter à l’interface Web d’administration (http://@IP:3000 ou @IP est à remplacer par l’adresse IP de votre serveur de supervision).

En bonus

Vous pouvez également utiliser le script pour mettre à jour un système Shiken existant (si il a été installé depuis les sources ou avec mon script). Dans ce cas, le script va sauvegarder votre configuration existante (le contenu du dossier /etc/shinken) dans un fichier .tgz (le nom et l’emplacement du fichier sont données à la fin de la mise à jour).

Il sera ensuite possible de restaurer cette configuration à la main.

Encore plus de Shinken ?

Jean Gabes, le papa de Shinken donnera une conférence sur son fils jeudi 12 mai au salon Solution Linux (à 15h30). Venez nombreux, il annonce une « conf de fou » 🙂 (il va avoir une belle pression…)

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Mon desktop 201105

Comme chaque mois, je vais vous montrer le bureau qui va accompagner mon PC portable pendant ce beau mois de mai. La grande nouveauté est l’utilisation, suite à la mise à jour vers Ubuntu 110.04 Natty, de Unity en lieu et place de Gnome 2.

Voici ce que cela donne, sans fenêtre:

et avec:

Les principales caractéristiques

Unity

Le dock Unity remplace AWN. Je le trouve assez pratique à utiliser, même si AWN apportait des fonctions de widgets bien pratique qui permettait de se passer de la barre de menu. 

Celle-ci fait donc sa réapparition en haut de l’écran.

 

 

Petite astuce si vous n’avez plus toutes les notifications qui s’affiche dans cette barre. Il suffit de saisir la ligne de commande suivante dans un terminal:

 

gsettings set com.canonical.Unity.Panel systray-whitelist « [‘all’] »

Pour le dock j’ai les réglages suivants que l’on peut trouver dans l’application Gestionnaire de Configuration de Compiz (SUPER+A « ccsm » pour la lancer) > Bureau > Ubuntu Unity Plugin > Experimental:

 

 

Dans le Dock, je configure les applications suivantes pour y être en permanence (bouton droit / conserver dans le dock):

 

  • Dossier personnel (accès direct à mon $HOME)
  • Chromium (Navigateur Web)
  • Terminator (client terminal)
  • Filezilla (client FTP / SFTP)
  • Hotot (client TWitter / Identi.ca)
  • Pidgin (messagerie)
  • Shutter (capture d’écran)
  • Spotify (ma musique !!!)

Et vous ? Cela donne quoi ?

 

A vous de nous montrer vos écrans (par exemple en utilisant http://twitpic.com/) !

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Accélérer l’affichage des menus sous Unity

Si comme moi, vos menus Unity mettent entre 1 et 2 secondes pour s’afficher, voici une astuce qui devrait rendre la bête un peu plus réactive aux combos SUPER+A, SUPER+F…

Il suffit de lancer le gestionnaire de configuration de Compiz en faisant « SUPER + A » > saisir « ccsm » puis cliquer sur l’application en question.

La fenêtre suivante devrait apparaitre:

Ensuite il suffit de désactiver le « Static Blur » (c’est à dire sélectionner « No Blur ») dans l’option « Dash Blur »:

Et voila, normalement les fenêtre devrait s’afficher instantément 🙂

Source: Forum Ubuntu.

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Les « choses à faire » après l’installation de Ubuntu 11.04

Ubuntu Natty (version 11.04) vient de sortir et il fait beaucoup parler de lui. En effet, cette nouvelle version du système basée sur GNU/Linux (kernel 2.6.38 et Xorg 1.10) introduit une nouveauté qui ne peut que sauter aux yeux des utilisateurs: le remplacement de l’interface graphique Gnome 2 par Unity.

Ce billet n’a pas pour objectif de comparer Natty aux anciennes versions d’Ubuntu et encore moins à d’autres systèmes GNU/Linux. Utilisant pas moins de 5 systèmes d’exploitations de manière plus ou moins régulière (Ubuntu, Debian, Fedora, FreeBSD, MacOS X et Windows), je trouve à chacun des avantages et des inconvénients. C’est cette diversité qui m’intéresse et pas la guerre entre OS.

Pour ceux qui suivent régulièrement ce blog, vous savez que chaque mois je donne une description du bureau d’une de mes machines (mon PC Desktop ou mon Laptop). Pour vous donner une idée de celui-ci avant la migration vers Natty, vous pouvez regarder l’image suivante:

On peut y voir:

  • le dock AWN sur la gauche de l’écran
  • le reste de l’écran pour les fenêtre (pas de barre de menu en haut)
  • un thème basée GTK basée sur Equinox Evolution Dawn + icônes Faenza

L’idée générale était de conserver fonctionnellement cette disposition en passant sous Ubuntu Natty / Unity.

Mise à jour du système

Comme à chaque fois, j’utilise la procédure suivante (histoire d’avoir un log propre à remonter aux équipes de Canonical). Donc, dans un terminal, il faut saisir les lignes suivantes:

sudo aptitude update

sudo rm -rf /var/log/dist-upgrade/

sudo update-manager -d

Puis ensuite, on suit pas à pas les étapes de la migration.

J’ai effectué la migration cette nuit car les serveurs étaient saturés (débit moyen de 50 Ko/sec…). Vivement que l’update-manager implémente un téléchargement via des technologies peer-to-peer.

Dans mon cas, l’installation c’est déroulée presque sans accros. Au petit matin, je me suis retrouvé avec le bureau suivant après le redémarrage de la machine:

Le seul bémol notable est venu de l’icone Dropbox qui n’apparaissait plus dans la zone de notification. Pour résoudre ce problème j’ai suivi ces instructions:

dropbox stop

rm -r ~/.dropbox-dist

cd

wget http://dl-web.dropbox.com/u/17/dropbox-lnx.x86-1.1.28.tar.gz

tar zxvf dropbox-lnx.x86-1.1.28.tar.gz

dropbox start

Configuration de Unity

Au niveau visuel, j’arrivais donc à quelque chose de ressemblant. Le dock Unity remplaçant AWN et le menu de notification refaisant son apparition en haut du bureau. Je trouvais cependant que le dock Unity était un peu trop gros par rapport à l’écran de mon Laptop. J’ai donc décidé d’en réduire la taille en allant dans le gestionnaire de configuration de Compiz (pour le trouver: touche SUPER + A > rechercher ccms) puis dans le menu « Bureau > Ubuntu Unity Plugin > Experimental », j’en prifite en même temps pour désactiver l’option « Static Blur » qui occasionnait sur ma configuration un temps d’affichage des menus entre 1 et 2 secondes:

 

J’obtiens alors le résultat suivant:

Et alors ? cela donne quoi à l’utilisation ?

Je dois avouer que je partais avec un a priori plutôt défavorable. Après quelques heures d’utilisation et la mémorisation des raccourcis claviers claviers les plus importants, j’ai vite oublié que je n’étais plus dans un environnement Gnome bien connu. Les fichiers sont facile à retrouver (soit par une recherche que l’on peut activer avec la combinaison SUPER + F), soit directement dans son dossier racine (SUPER + 1 dans ma configuration). On a le même système de recherche pour les applications (SUPER+A). 

C’est une façon différente d’accéder à son système qui se rapproche assez de Mac OS X. Certains peuvent ne pas aimer…

Je trouve toutefois Unity encore perfectible sur certains point. Par exemple sur mon Laptop (Core i5 + 4 Go de RAM), l’affichage du menu pour lancer une application (SUPER+A) prend entre 1 et 2 secondes. Tous mes fichiers ne sont pas encore indexé dans le moteur de recherche (après plus de 8 heures, bizarre quand même). > Pb resolu: Voir la solution ici.

Et après ?

Après une installation ou une mise à jour, vous allez vous retrouver avec les dépôts standards d’Ubuntu.

Pour configurer automatiquement les dépôts et installer/mettre à jour les applications que j’utilise régulièrement, j’ai relancé mon script post-installation Ubuntu (version 1.40 ou supérieure). Ce script va notamment installer les applciations suivantes:

  • Chromium (navigateur Internet)
  • VLC (player multimedia)
  • Dropbox (partage de fichiers entre ordinateurs)
  • Shutter (capture d’écran)
  • Hotot (client de micro blogging)
  • Terminator (terminal)

Conclusion

Il est encore trop tôt pour vous donnez un avis tranché sur cette nouvelle version et notamment sur Unity. En tout cas, je ne suis pas perdu 😉

Et vous quelles sont vos premières impressions sur Unity ?

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Image Open-source Planet-libre Systeme

Les raccourcies d’Unity sur une image

La prochaine version d’Ubuntu intégrera, par défaut, l’interface Unity en lieu et place de Gnome. Comme tout système GNU/Linux, il sera bien entendu possible d’en choisir une autre (par exemple Gnome 3), mais si ce n’est pas votre choix alors l’image suivante devrait vous intéresser.

Elle propose en effet la plupart des touches de raccourcies clavier pour manipuler Unity comme un pro (source Webupd8).

Pour avoir testé Unity sur une machine virtuelle sous Ubuntu 11.04, je dois avouer que je ne suis pas un gros fan. J’attend cependant d’avoir une version définitive (fin avril) entre les mains pour me faire une idée définitive. Les freins du changement sont parfois forts…

Que pensez-vous de cette nouvelle interface ? Apporte t’elle selon vous une « expérience utilisateur » plus intéressante ? Simplifie t’elle les taches les plus courantes ?

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Blog Open-source Planet-libre Reseau Systeme Web

Varnish n’a pas peur de la montée en charge

Ce matin, un tweet de Philippe Scoffoni m’a permis de re-découvrir le site Load Impact qui permet de tester la montée en charge de votre service Web en simulant un nombre croissant de connexion. J’ai profité de cet outil sympa pour tester les performances de mon blog sans et avec le proxy cache Varnish (dont j’avais détaillé l’installation dans ce billet).

Avant de commencer la comparaison, un détail de ma configuration serveur:

  • Hébergeur Gandi
  • OS Ubuntu 10.04 LTS
  • CPU 1 coeur avec 1 Go de RAM

Perfos sans Varnish

Le test est alors effectué dans l’architecture suivante:

On obtient ces résultats:

Sans grande surprise on voit que les performances s’écroulent quand le nombre de lecteurs simultanés augmente. Pour 50 lecteurs simultanés sur le Blog (ce qui est quand même un pic que je ne vois pas tous les jours :)), on a un temps de chargement de la page qui passe à plus de 25 secondes (alors qu’il est de moins d’une seconde quand il y a un seul lecteur).

Perfos avec Varnish

En ajoutant Varnish en front-end à Apache, on a l’architecture suivante:

Et les résultats…

… sont à la hauteur des attentes de Varnish !

En effet pour 50 lecteurs consultant le blog en simultané, le temps de chargement ne dépasse pas les 2 secondes. Pas mal pour un logiciel qui ne prend que 1 Go d’espace disque…

Alors vous attendez quoi pour passer à Varnish ?

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Mon desktop 201104

Avec quelques jours de retard, voici le desktop qui va me suivre pendant le beau mois d’avril 2011.

Voici ce que cela donne sans fenêtre:

et avec:

Les principales caractéristiques

Installer de la combo magique (Equinox Evolution Dawn  + Faenza + Nautilus Elementary)

Petit changement avec l’utilisation du thème GTK Equinox Evolution Dawn en lieu et place de Equinox Glass. De petites amélioration bien sympa notamment au niveau des ascenseurs des terminaux qui sont beaucoup plus fins.

Les icônes Faenza sont lisibles et facile à reconnaître et Elementary est pour moi devenu indispensable aux utilisateur de Nautilus:

sudo aptitude install gtk2-engines-equinox equinox-theme equinox-ubuntu-theme faenza-icon-theme

nautilus -q

Pour activer Equinox, il faut aller dans le menu: “Système > Préférences > Apparences > Thème > Equinox Evolution Dawn“.

Installation de AWN

Si vous suivez cette rubrique, vous avez du vous rendre compte que je suis passé de Docky à AWN. Toutes les explications sont dans ce billet.

Dans mon dock il y a…:

  • Cairo menu
  • Lien vers mes répertoires
  • TodoList
  • Switch écran
  • Barre de lancement rapide (Terminator, Chromium,…)
  • Supervision du CPU
  • Supervision de la température de la carte mère
  • Supervision de la bande passante de mon interface Ethernet
  • La corbeille

Et chromium ?

Pour mettre également Chromium en concordance avec le reste du thème, j’utilise ce thème (point CRX à ouvrir directement dans Chromium).

A vous de nous montrer vos écrans (par exemple en utilisant http://twitpic.com/) !

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Et un eBook gratuit sur Nagios, un…

On m’a plusieurs fois proposé d’écrire un livre sur Nagios et la supervision système et réseau. J’ai, pour l’instant, refusé ces offres par manque de temps et de motivation. Le Blog de Nicolargo m’occupe déjà  beaucoup et je trouve cette formule plus « interactive » que le support papier.

Cependant, je sais par expérience qu’il est parfois utile d’avoir une documentation papier ou sous la forme d’un simple fichier sur une clés USB. C’est donc pour cette raison que j’ai compilé l’ensemble des billets de ce blog abordant Nagios dans un eBook au format PDF sous licence Creative Common BY NC.

Pour télécharger gratuitement cet eBook, il suffit de cliquer sur l’image suivante:

Je vous rappelle, que l’ensemble des billets sur Nagios est regroupé également sur cette page (vous trouverez encore plus d’informations que dans l’eBook). Si vous voulez être tenu au courant des nouveaux articles, je vous conseille de vous abonner au flux RSS du blog, à mon compte Twitter ou à partir de Facebook.

Bonne lecture !