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Open-source Systeme

Comment optimiser OpenOffice

Voici une petite astuce afin d’optimiser OpenOffice (mais également NeoOffice) sur une machine récente (avec au minumum 1 Go de RAM).

Pour cela il se rendre dans le menu Outils/Options (Preferences dans NeoOffice), puis dans le sous menu Java:

Décocher la case « Use a java runtime environment »

cliquer ensuite sous le menu Memory:

Saisir les valeurs suivantes:

  • Number of steps: 30
  • Use for Open Office: 128
  • Memory per Object: 20
  • Number of Objects: 20

Puis relancer le logiciel. Vous devriez constater une amélioration lors du lancement de l’application mais également lors de l’utilisation !

Source: Downloadsquad

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Blog

Blog Action Day: j’y serai…

Juste un petit post pour vous dire que je participerai au Blog Action Day. Ainsi, le lundi 15 octobre 2007, je posterai un article sur l’environnement (sujet un peu en dehors du cadre de ce blog mais nettement plus important…).

En attendant, vous pouvez également inscrire votre blog et afficher une publicité pour promouvoir l’évenement.

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Systeme

Chiffrer ses fichiers sensibles sous Mac

Je viens de découvrir un freeware très pratique pour créer un emplacement sécurisé sur un disque afin d’y stocker des fichiers sensibles. Cet emplacement (vault) sera chiffré et protégé par un mot de passe. On pourra y mettre des fichiers, répertoires…

Le logiciel en question se nomme SecureFiles de Free Mac Softs. Il permet la création d’une image disque chiffrée avec une taille maximum paramétrable.

Installation

Il suffit de télécharger la dernière version sur le site Web de l’éditeur. Puis de lancer l »installation:

Création de la zone sécurisée

On doit lancer le logiciel (SecureFiles.app via Spotlight), donner un nom à la zone (on peut donc en créer plusieurs) configurer la taille maximum, définir si les fichiers inclus dans cette zone seront visible par Spotlight et cliquer sur Creer.

SecureFiles va créer une image disque dans votre répertoire racine.

Utilisation de la zone sécurisée

En double cliquant sur le fichier de l’image disque précédemment créé et parès saisie du mot de passe, le répertoire s’ouvre.

 

Vous n’avez plus qu’a y copier/glisser les fichiers sensibles !

Très simple et très pratique bref un bon freeware.

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Open-source Reseau

Nmap: le scanneur de réseau

NMAP matrixNmap est un scanneur de port réseau disponible sur Linux, Mac, FreeBSD, Windows… Le but de ce logiciel est de détecter les ports réseau ouvert sur des machines. Il permet donc de détecter si une machine est sur un réseau, d’identifier les services qui tournent dessus et même d’en déduire dans certain cas le type d’operating system. Voici une petit tutoriel avec quelques commandes de bases.

Remarque: Le scanning de port est considéré comme une intrusion. Il est donc interdit de scanner un réseau qui ne nous appartient pas.

Détection des machines sur un réseau

Si vous souhaitez identifier toutes les machines présentes sur votre réseau (cela peut être utile surtout si votre réseau est sans fils – wifi).

# nmap -sP <cible>
ou <cible>peut être:

  • une machine: ex. 192.168.0.1
  • un réseau: ex. 192.168.0.0/24 ( scan de toutes les adresses comprises entre 192.168.0.0 et 192.168.0.255)
  • une plage d’adresse: ex: 192.168.100-200 ( scan de toutes les adresses comprises entre 192.168.0.100 et 192.168.0.200)

Le résultat d’une telle commande sera du type:

# nmap -sP 192.168.0.0/24
Starting Nmap 4.20 ( http://insecure.org ) at 2007-08-27 11:45 CEST
Host routeur (192.168.0.254) appears to be up.
Host pc (192.168.0.1) appears to be up.
Host mac (192.168.0.2) appears to be up.

Détection des ports réseau ouverts sur une machine

Une fois les machines disponibles identifiées, il est possible d’aller plus loin et de scanner tous les ports réseau ouvert. Pour cela il faut utiliser la commande suivante:

# nmap <cible>

Par exemple, le résultat de cette commande sur un serveur web ne devrait faire apparaitre que le port TCP/80 (HTTP).

# nmap www
Starting Nmap 4.20 ( http://insecure.org ) at 2007-08-27 12:01 CEST
Interesting ports on 192.168.0.1:
Not shown: 1354 closed ports, 340 filtered ports
PORT STATE SERVICE
80/tcp open http
Nmap finished: 1 IP address (1 host up) scanned in 20.677 seconds

Cette commande est un peu longue car elle scanne tous les ports réseau. Si vous souhaitez scanner un port en particulier, vous pouvez utilisez l’option -p

. Par exemple la commande suivante va scanner tous les ports SSH (TCP/22) ouvert sur le réseau 192.168.0.0/24.

# nmap -p 22 192.168.0.0/24
Starting Nmap 4.20 ( http://insecure.org ) at 2007-08-27 12:06 CEST
Interesting ports on al-ras.alcasat.net (192.168.0.1):
PORT STATE SERVICE
22/tcp open ssh
Interesting ports on al-ns1.alcasat.net (192.168.0.2):
PORT STATE SERVICE
22/tcp open ssh
Nmap finished: 256 IP addresses (3 hosts up) scanned in 5.356 seconds

Autres exemples de scan:

Scan de tous les ports TCP ouverts sur la machine cible:

# nmap -sS <cible>

Scan de tous les ports UDP ouverts sur la machine cible:

# nmap -sU <cible>

Identifier l’OS d’une machine

Nmap permet également d’identifier l’OS d’une machine scannée. Il utilise pour cela des algorithmes qui se basent sur l’identification des caractéristiques des paquets réseau et des ports ouverts. Même si cette méthode n’est pas parfaite elle marche dans environ 90% des cas.

On utilise l’option -O sur la cible à identifier:

# nmap -O –osscan-guess <cible>

Exemple de sortie:

# nmap -O –osscan-guess 127.0.0.1
Starting Nmap 4.20 ( http://insecure.org ) at 2007-08-27 12:15 CEST
Interesting ports on localhost (127.0.0.1):
Not shown: 1692 closed ports
PORT STATE SERVICE
22/tcp open ssh
139/tcp open netbios-ssn
445/tcp open microsoft-ds
631/tcp open ipp
9090/tcp open zeus-admin
Device type: general purpose
Running: Linux 2.6.X
OS details: Linux 2.6.18 – 2.6.19 (x86)
Uptime: 4.025 days (since Thu Aug 23 11:39:26 2007)
Network Distance: 0 hops
OS detection performed. Please report any incorrect results at http://insecure.org/nmap/submit/ .
Nmap finished: 1 IP address (1 host up) scanned in 1.408 seconds

Cet article n’est qu’un premier tutoriel qui montre comment utiliser les fonctions de bases de Nmap. Si vous avez d’autres exemples d’utilisations, vous pouvez postez un commentaire.

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Musique

Ma compil Deezer de l’été

Suite à la lecture d’un post citronné, j’ai découvert Deezer: le nouvel ovni de la musique sur Internet, qui permet l’écoute en streaming d’un nombre très important de titres de manière légale et gratuite (en fait c’est un peu le Saint Graal…).

En plus des fonctions de bases (écoute, recherche, notation, création de playlist), Deezer propose également un lecteur multimédia à inclure dans vos pages web/blog. Pour démontrer tout ça, voici donc en avant première mondiale ma compilation de l’été 2007.

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Blog

Insérer Google map dans votre blog

Le territoire Américain est une plate-forme de test pour Google map. On y découvre en effet de nouvelles fonctions que l’on aimerait bien trouver pour notre pays. Parmis ces fonctions, on peut citer:

« Street view » qui permet d’afficher des photos des rues.

Google map Street view

« Traffic » qui affiche en temps réel le trafic autoroutier des principales artères.

Google map traffic

La dernière fonctions et non des moindres pour nous autres blogger est la possibilité d’insérer une Google map directement dans un article. Pour cale, il suffit de cliquer sur le lien « Link to this page » et de faire un copier/coller du code HTML.


View Larger Map

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Open-source Reseau

Nagios vs Solutions payantes ?

Un lecteur m’a posé, par mail, la question suivante:


je suis à la recherche d’un produit de supervision et je trouve des produits
comme Patrol visualis, Spectrum, HP Open View…. aux prix exorbitants
– j’aurai à superviser: 20 switchs cisco, 10 routeurs cisco, des serveurs windows
2003, ISA, exchange et 60 cisco pix (en VPN ipsec et en extrémité un ISA) soit
environ 100 équipements snmp.
– ma priorité étant les « cisco pix » afin de détecter les ruptures de ligne adsl
et par exemple permettre d’envoyer un mail, sms avec une remontée d’alerte
visuelle sur le produit de supervision…
– obtenir des graphiques sur la bande passante utilisée…
– les équipements non snmp, peut-on les gérer par un ping à intervalle régulier ?
Ce produit est-il difficile à mettre en oeuvre ? (mes connaissances linux dates de 5 ans).


Ce genre de question revient régulièrement quand on doit faire le choix entre une solution open-source et une solution payante. Dans ce cas précis et au vu du nombre relativement faible de machine à « monitorer », je pense qu’une solution à base de Nagios (pour le monitoring) et de Cacti (pour la génération des graphes de bande passante ou autres) est la meilleure.

En effet, une des qualités première de Nagios est son architecture facilement adaptable à l’environnement, notamment grâce à l’utilisation de plugins. Notre lecteur dispose d’un parc composé en majorité de machine compatible SNMP, il sera donc très facile d’adapter Nagios aux besoins des utilisateurs. Il existe même des sites comme Nagios Exchange permettant de trouver facilement des extensions spécifiques pour les équipements Cisco et les serveurs Windows. Pour les équipements non compatibles SNMP, il est bien sur possible de les surveiller grâce à des « ping ». Pour être plus précis, on passe alors par un système de scripts permettant de faire un peu ce que l’on veut (faire une ping, émuler une requête HTTP, tester une connection telnet…). En ce qui concerne la remontée des alarmes, Nagios dispose de tout un panel de possibilité: message dans l’interface Web, message dans fichier syslog, mail, SMS (si vous disposez d’un serveur SMS).

Bien que l’installation de Nagios soit relativement simple, il faut avouer que les taches d’administrations (ajout/modification/suppression de machine) sont un peu lourdes. Elles peuvent cependant être faite par n’importe quel utilisateur maitrisant les bases d’un OS Linux. Si vous souhaitez toutefois avoir un support professionnel, de nombreuses SSII offrent leurs services pour l’installation et la maintenance de telles solutions.

L’archivage des l’utilisation de la bande passante n’est par contre pas une fonction inclue dans Nagios, je conseille pour cela l’utilisation d’un autre logiciel: Cacti. Ce dernier se présente lui aussi comme une interface Web et est bien plus simple à utiliser que des graphes MRTG.

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Blog

Les ordinateurs historiques

L’histoire de l’informatique est intimement liée à celle des ordinateurs. De plus en plus performants, un ordinateur portable est aujourd’hui beaucoup plus puissant qu’un centre de calcul des années 90…

1977: L’Apple II d’Apple, vendu à plusieurs centaines de milliers de modéles.

Apple II
Caractéristiques techniques

1980: Le ZX81 de Sinclair, le premier ordinateur abordable par le grand public…

ZX81
Caractéristiques techniques

1984: Le Macintosh d’Apple, père de la famille des Mac. Bien avant Microsoft il proposait une interface graphique pilotable à la souris.

Macintosh
Caractériques techniques

1984: L’Amstrad CPC 464, avec son lecteur de K7… un petit bijou pour les bidouilleurs.

Amstrad 464
Caractéristiques techniques

1984: Naissance de la gamme des PC AT d’IBM à base de processeur 80286… Le début de l’operating system MS-DOS.

IBM PC AT
Caractéristiques techniques

1985: Grande bataille entre les pros Commodore (avec L’Amiga 500 et 1000) et les pros Atari (avec la gamme 520 et 140 STF). 20 ans après ils ne sont toujours pas d’accord ;).

Amiga 500+ Atari 520 STF
Caractéristiques techniques: AmigaAtari

1986: Un peu en retard technologiquement mais poussé par l’éducation nationale française, le Thomson MO5 démocratise les ordinateurs dans notre pays.

Thomson MO5
Caractéristiques techniques

La suite est devenue bipolaire entre le monde Apple (iMac, Macbook,…) et le monde PC (x86 puis Pentium…).

Ma longue (?) histoire informatique est la suivante:

  • Excel 100 (ordinateur Français avec un lecteur de K7)
  • Atari 1040 STE
  • Amiga 500 (mon premier chouchou)
  • PC AT 80286
  • PC AT 80386
  • PC AT 80486
  • PC Pentium I
  • PC Pentium II
  • PC Pentium III
  • PC Pentium IV
  • Macbook Pro sous Intel (mon dernier chouchou)

et vous quel est la liste de vos ordinateurs ?

Source des données techniques: http://www.old-computers.com

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Blog

C’est la rentrée !

Après trois semaine de congés, le blog va petit à petit reprendre son activité. Le mois d’août étant au blog ce que le mois de janvier est pour l’homme (c’est à dire celui des bonnes résolutions), voici celle pour le blog de Nicolargo: Continuer sur la même dynamique !

Bonne rentrée à tous.

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Open-source Reseau Web

Regarder la télé même sans dégroupage

Depuis peu, Free propose à ses abonnés non dégroupés de regarder une sélection de chaines de TV publiques à partir de son navigateur internet.

Pour cela il faut installer Firefox et le plugin VLC (comme quoi les gars de chez Free sont des bons…) puis de vous rendre à l’adresse suivante: http://tv.freebox.fr/

On se retrouve alors devant une interface très simple à utiliser:

La qualité de l’image est correcte si l’on reste en mode fenêtre mais devient insuffisante en mode plein écran. Le son est quant à lui impeccable.

Par curiosité, j’ai lancé un petit tcptrack pour voir le débit utilisé. On voit ici que la vidéo doit être compressé en MPEG-4 (contrairement à la TNT publique qui est en MPEG-2), en effet, on arrive à un débit moyen variant entre 40 et 60 Koctets par seconde (soit entre 320 et 480 Kbps). Il est donc possible de continuer à surfer en même temps que l’on regarde la méteo 😉