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Installation de SongBird sous Ubuntu

SongBird est le concurrent open-source de iTunes. Il est actuellement en développement. La dernière version disponible au moment de la rédaction de ce billet est la 0.7.

Voici la procédure à suivre pour une installation sous une GNU/Linux Ubuntu 8.04.

Téléchargement de SongBird

Il faut se rendre sur le site suivant puis télécharger la dernière version disponible. L’archive d’installation se présente sous la forme d’un fichier .deb de 17 Mo pour la version 0.7.

Pour installer le .deb, il suffit de double cliquer sur le fichier songbird_0.7.0-0~getdeb1_i386.deb puis de cliquer sur le bouton « Installer le paquet ».

Un fois l’installation effectuée, vous pouvez lancer le programme à partir du menu Applications / Son & Video / Songbird.

Après acceptation de la licence d’utilisation et le télépchargement automatique du pack Français, vous devez saisir l’emplacement ou se trouve vos fichiers musicaux (par défaut /home/user/Musique) puis sélectionner les plugins qui peuvent vous intéresser (par exemple un plugin de gestion iPod).

Utilisation de SongBird

SongBird partage avec Firefox les systèmes de navigation par onglets et de plugins (.xpi). En cliquant sur le marque-page « songbird add-ons », un nouvel onglet affiche la liste des plugins disponibles.

J’utilise personnellement:

  • « Ipod device support » pour le support de mon Ipod.

  • « Media Flow » pour parcourir sa bibliothéque avec un effet très cher à Apple.

  • « DeezerBird » pour jouer vos playlist Deezer depuis Songbird
  • « Seeqpod » pounr une intégration du site SeeqPod

A vos casques !

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Ecouter la musique de son Mac sous Linux

Si vous avez comme moi votre bibliothèque musicale stockée dans l’iTunes de votre Mac OS X et que vous souhaitez y accéder depuis votre PC Linux, alors ce billet est fait pour vous…

Comment ça marche ?

Nous allons utiliser DAAP (Digital Audio Access Protocol), un protocole commun entre votre Mac OS X qui va partager votre bibliothèque et votre lecteur audio sous Linux. Ce protocole se rapproche en fait du bien connu protocole HTTP (mais en écoute sur le port TCP/3689, avis aux utilisateurs de firewall…) permettant de partager des listes de lectures et de « streamer » des musiques (quelques soit le format/codec) sur le réseau.

Pour une description précise du protocole, vous pouvez consulter ce document.

Configuration du serveur DAAP sur le Mac OS X

Depuis iTunes 7.0, Apple (le vilain) a changé le protocole d’authentification des clients tiers. Il n’est donc plus possible d’accéder à une bibliothèque partager par iTunes 7.0 depuis un lecteur audio Linux comme Amarok, Banshee ou Rhytmbox.

Heureusement, la communauté open-source propose une solution alternative et que je trouve plus élégante: Fire Fly Media Server. Ce petit serveur DAAP (anciennement nommé mt-daap) est disponible sous Mac OS X.

Avant d’installer Fire Fly Media Server, on commence donc par vérifier que le partage est désactivé dans iTunes 7.0 afin qu’il n’y est pas de conflit entre les deux systèmes.

Partage-3.jpg

On peut alors passer à l’installation de Fire Fly Media Server. Il faut pour cela se rendre sur cette page et télécharger la dernière « nighly-build ».

Une fois installé, un nouvel icône est disponible dans les préférences systèmes:

Préférences Système.jpg

La configuration est très simple. On entre le nom du partage qui sera diffusé sur le réseau (1), le mot de passe (2) et si le serveur est lancé au démarrage de la session (3).

Firefly.jpg

Ensuite, dans l’onglet Avancé, on configure le répertoire ou se trouve la bibliothèque musicale (/Users/<login>/Music pour partager votre bibliothèque iTunes):

Firefly-1.jpg

Il ne reste plus qu’a démarrer le serveur .Cette action sera faite automatiquement au prochain reboot si vous avez sélectionné cette option (3).
Firefly-2.jpg

Configuration du client DAAP sous Linux

J’utilise le lecteur audio Banshee sous ma station Linux Ubuntu. La procédure pour accéder au partage est la suivante.

On commence par activer le plugin Partage de musique:

capture_200807313859.jpg

Le nom du partage devrait alors apparaître automatiquement dans la liste des Musique partagée de Banshee. Une fois sélectionné (1), il faut saisir le mot de passe (2).

capture_200807313522.jpg

Vous avez alors accès à votre bibliothèque. Lors de l’écoute d’un morceau, les données sont « streamées  » entre le Mac et le Linux. Ainsi, aucun fichier n’est stocké sur votre Linux.

capture_200807313727.jpg

Conclusion

Vous pouvez donc partager vos fichiers audio (MP3 ou autres) de manière très simple. L’avantage de cette solution par rapport à un simple partage iTunes (en dehors du fait que cela marche;) ) est qu’il n’est pas nécessaire de lancer iTunes pour accéder à vos musiques.

En cadeau bonux, Firefly Media Server dispose d’une interface Web d’administration accessible par défaut par l’adresse http://localhost:1024/index.html.

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Open-source Systeme

Générer votre script de démarrage Ubuntu

Vous venez de développer un « super_daemon_de_la_mort_qui_tue » qui doit se lancer au boot de votre machine Ubuntu mais vous ne savez absolument pas comment écrire un script de démarrage en bonne et due forme (et pas « en bonnet du forme »…) ?

Heureusement, Robert Peclot’s (merci à Mumbly pour la découverte) propose un petit script en ligne permettant de générer celà pour vous.

Il faut ce rendre à l’adresse suivante puis saisir le formulaire:

Puis le résultat (facilement téléchargeable):

#! /bin/sh
#
# This script was generated by The Ubuntu Linux Startup Script Builder
# version 1.7 located at http://rob.pectol.com/startup_scriptbuilder/.
#
# Generated: Fri Jul 25 05:18:02 MDT 2008
#
# super_daemon_de_la_mort_qui_tue.sh – Script de démarrage pour super_daemon
#
##################################################

set -e
PATH=/usr/local/sbin:/usr/local/bin:/sbin:/bin:/usr/sbin:/usr/bin

if [ -r /lib/lsb/init-functions ]; then
. /lib/lsb/init-functions
logbegin= »log_begin_msg »
logend= »log_end_msg »
else
logbegin= »echo -n »
logend=`printf « echo .\n »`
fi

# Exit if the daemon binary is NOT available, executable, etc.
test -x /usr/bin/super_daemon || exit 0

# Read config file if it is present.
if [ -r /etc/default/super_daemon.conf ]; then
. /etc/default/super_daemon.conf
fi

# Start function
d_start() {
start-stop-daemon –start –pidfile /var/run/super_daemon –exec /usr/bin/super_daemon — -d
}

# Stop function
d_stop() {
start-stop-daemon –stop –pidfile /var/run/super_daemon –name super_daemon
}

# SigHup function
d_reload() {
start-stop-daemon –stop –pidfile /var/run/super_daemon –name super_daemon –signal 1
}

case « $1 » in
start)
$logbegin « Starting super_daemon… »
d_start
$logend $?
;;
stop)
$logbegin « Stopping super_daemon… »
d_stop
$logend $?
;;
reload)
$logbegin « Reloading configuration for super_daemon… »
d_reload
$logend $?
;;
restart)
$0 stop
sleep 1
$0 start
;;
*)
log_success_msg « Usage: $0 {start|stop|reload|restart} »
exit 1
;;
esac
exit 0

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Open-source Systeme

Installer un RPM sous Ubuntu

Je sais c’est une idée farfelu… mais j’ai dû installer un logiciel seulement fourni dans un package RMP sous une distribution Linux Ubuntu. J’ai utilisé pour cela un logiciel nommé Alien qui permet une conversionde RPM vers DEB.

Installation d’Alien

# sudo apt-get install alien

Utilisation d’Alien pour installer un RPM

Par exemple, si vous souhaitez installer le package test.rpm, il suffit de taper les commandes suivantes:

# sudo alien -k test.rpm

# sudo dpkg -i test.deb

Et voili..

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Open-source Systeme

Créer un OS Live sur CD et clé USB

Avoir un système d’exploitation live sur CD ou clé USB peut s’avérer extrêmement utile lorsque, par exemple, Windows plante au démarrage (ah bon?) et que l’on veut récupérer des fichiers importants sur le disque, ou tout simplement pour transporter sa propre boite a outils de geek dans sa poche.

Creative Commons License photo credit: Locator

Pour cela, on peut :

  • télécharger un OS Live existant comme celui d’Ubuntu, DSL (Damn Small Linux) ou autre
  • créer son propre OS from scratch
  • partir d’un OS Live existant et le customizer

La première solution est évidemment la plus simple et la plus rapide, mais ne permet pas de pré-configurer le système.

La seconde solution est la plus complète de toutes, mais nécessite de longues heures de compilation.

La troisième est un excellent compromis entre les 2 autres solutions et est celle que nous allons détailler dans ce sujet…

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Installation d’un serveur SNMP sous GNU/Linux

Ce billet a pour but de détailler l’installation et la configuration d’un serveur SNMP sous Linux. J’ai choisi d’utiliser la solution open-source net-snmpd.

logo-netsnmp.jpg

Celle-ci dispose d’une communauté de développeurs très active. De plus cette solution est disponible sous de nombreux OS (Linux, BSD mais aussi Mac OS X et même Windows !).

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Récupérer une partition FreeBSD sous Ubuntu

post-it.jpegUn petit pense-bête pour ceux qui souhaitent récupérer des fichiers sur une partition FreeBSD 5.x défectueuse.

J’ai utilisé le DVD d’installation d’Ubuntu (7.10), puis j’ai ouvert un terminal et saisie les commandes suivantes:

# sudo mkdir /mnt/freebsd
# sudo mount -t ufs -o ufstype=5xbsd -r /dev/sda1 /mnt/freebsd

Et voilà, il ne me restait plus qu’a insérer une clès USB et a y copier mes fichiers.

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Open-source Reseau

Installation de Centreon sous Ubuntu

Ce billet est obsolète. Si vous souhaitez accéder à la dernière version du tutoriel pour
« Installer Nagios 3 avec Centreon 2 » alors cliquez ici.

A la demande générale (enfin d’un lecteur…), voici la procédure pour installer Centreon (nouveau nom d’Oreon) sur la distribution Linux Ubuntu. Il y a effectivement quelques différences avec l’installation sous Fedora.

Introduction

Oreon est un logiciel libre permettant d’ajouter une couche applicative au logiciel Nagios. Oreon lui offre une nouvelle interface et lui apporte de nouvelles fonctionnalités. Il va permettre de rendre la configuration de Nagios plus facile et d’avoir une interface graphique améliorée. Les techniciens de leurs côtés auront toujours accès aux informations techniques de Nagios (Source: Wiki Centreon).
Installation du serveur MySQL et ApacheCette étape est optionnelle, vous pouvez utiliser un serveur Apache/MySQL existant. Il faut cependant vérifier que les librairies nécessaires (PHP) sont installées.

# sudo apt-get install apache2 php5

# sudo apt-get install mysql-server

# /etc/init.d/mysql reset-password

# /etc/init.d/mysql restart

# sudo apt-get install php5-mysql php5-gd php5-ldap php5-snmp

# /etc/init.d/apache2 restart

Pre-requis système

Voici une liste de librairies à installer avant Centreon:

# sudo apt-get install rrdtool

# sudo apt-get install librrds-perl

# wget http://security.ubuntu.com/ubuntu/pool/main/n/net-snmp/snmp_5.2.1.2-4ubuntu2.1_i386.deb

# sudo dpkg -i ./snmp_5.2.1.2-4ubuntu2.1_i386.deb

# sudo apt-get install mailx

# sudo apt-get install php-pear

# pear upgrade –force –alldeps PEAR-1.6.2

Installation de Centreon

Vous pouvez voir la dernière version de Centreon à l’adresse suivante: Site officiel de Centreon (download).

# wget http://download.oreon-project.org/index.php?id=65

# tar zxvf centreon-1.4.1.tar.gz# cd centreon-1.4.1/

# bash ./install.sh

Where is installed RRD perl modules (RRDs.pm) ?
Just put directory, not full path.default to [/usr/local/rrdtool/lib/perl]: /usr/lib/perl5

Where is PEAR Path ?default to [/usr/share/pear]:/usr/share/php
PEAR Path /usr/share/php/PEAR.php

Do you want to install Oreon Traps Plugins ?[y/n], default to [y]: n

Configuration de Centreon

Lors de la connexion à votre serveur via l’URL (http://localhost/oreon), vous allez être redirigé vers le wizard d’installation. Il suffit de vérifier pour chacunes des étapes que tout est OK. Pour la DB, vous pouvez utiliser les paramètres suivants si votre DB est locale:

Et voila le travail.Vous pouvez maintenant commencer à utiliser Centreon en vous rendant à l’URL: http://localhost/oreon/.

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Nagios Open-source Reseau

Installation de Nagios 3 sous Ubuntu

Update: Ce billet n’est plus à jour.

Merci de consulter cet autre tutoriel pour une installation de Nagios 3 sous Ubuntu

ou alors

cet autre billet avec un script automatique d’installation de Nagios sur GNU/Linux

Nagios, l’outil libre de monitoring réseau va bientôt passer en version 3.0. Nous allons donc dans cet article décrire l’installation de cette nouvelle monture sous un OS Linux Ubuntu (la procédure est presque la même pour Fedora).

Pre-requis

Nous avons d’abord besoin d’installer un serveur web (si ce n’est pas déjà fait) et les librairies de bases nécessaires pour la compilation de Nagios. Pour cela, il faut utiliser les commandes suivantes:

# sudo apt-get install apache2
# sudo apt-get install build-essential

Si vous voulez utiliser l’option de visualisation graphique de votre réseau (« status map »), il faut également installer les librairie suivantes.

# sudo apt-get install libgd2-noxpm-dev libpng12-dev libjpeg62 libjpeg62-dev

Il faut également créer un utilisateur et un groupe dédié au processus Nagios (pour d’évidente raison de sécurité).

# sudo -s
# /usr/sbin/useradd nagios
# passwd nagios
# /usr/sbin/groupadd nagios
# /usr/sbin/usermod -G nagios nagios
# /usr/sbin/groupadd nagcmd
# /usr/sbin/usermod -G nagcmd nagios
# /usr/sbin/usermod -G nagcmd www-data

Téléchargement des sources de Nagios

Afin de rendre cette procédure la plus générique possible (et don adaptable sous d’autres distributions Linux), nous allons faire une installation de Nagios à partir des sources. Nous allons donc commencer à les récupérer sur le site Nagios:

# cd /usr/src
# wget  http://surfnet.dl.sourceforge.net/sourceforge/nagios/nagios-3.0.2.tar.gz
# wget  http://kent.dl.sourceforge.net/sourceforge/nagiosplug/nagios-plugins-1.4.12.tar.gz

PS: Pensez à changer le nom du fichier quand la version finale de Nagios sera sortie

Compiler les sources de Nagios

Une fois les sources décompressés:

# tar xzf nagios-3.0.2.tar.gz
# cd nagios-3.0.2

Nous allons lancer la compilation grâce aux commandes suivantes:

# ./configure –with-command-group=nagcmd
# make all
# make install
# make install-init
# make install-config
# make install-commandmode
# ln -s /etc/init.d/nagios /etc/rcS.d/S99nagios

Il faut ensuite installer l’interface Web:

# make install-webconf
# sudo htpasswd -c /usr/local/nagios/etc/htpasswd.users nagiosadmin
# /etc/init.d/apache2 reload

Puis finir par la compilation des plugins de base.

# cd ..
# tar xzf nagios-plugins-1.4.12.tar.gz
# cd nagios-plugins-1.4.12
# ./configure –with-nagios-user=nagios –with-nagios-group=nagios
# make
# make install

Configuration de Nagios

Nagios est maintenant installé sur votre machine. Avant de pouvoir le lancer, il faut éditer les fichiers de configuration qui se trouve dans le répertoire /usr/local/nagios/etc. Pour faire un premier test, le seul fichier à configurer avant d’éxecuter Nagios est le fichier /usr/local/nagios/etc/objects/contacts.cfg et de changer l’adresse email de contact (nagiosadmin) ou seront envoyés les mails en cas d’alerte.

Pour la configuration finale en fonction de vos besoin, vous pouvez consulter cette page qui décrit les fichiers de configurations.

Pour vérifier que la configration de Nagios est bonne (qu’il n’y a pas d’erreur dans les fichiers de configuration), vous pouvez utiliser l’option « -v » de la commande nagios:

# /usr/local/nagios/bin/nagios -v /usr/local/nagios/etc/nagios.cfg

Si vous n’avez pas d’erreurs, vous pouvez passer à la dernière étape.

Lancement de Nagios

Pour lancer Nagios, vous pouvez utiliser les commandes:

# /etc/init.d/nagios start
ou bien
# service nagios start

Pour le redémarrage de Nagios (par exemple si vous modifiez les fichiers de configurations):

# /etc/init.d/nagios restart
ou bien
# service nagios restart

Utilisation de Nagios

L’accès à l’interface Web de Nagios se fait par l’URL suivante: http://localhost/nagios/ (ne pas oublier le / final).

Pour aller plus loin…

Si vous avez besoins d’informations et d’aide supplémentaires sur Nagios, vous pouvez consulter:

Traitant régulièrement de sujet autour de Nagios, vous pouvez également vous abonnez au blog pour ne pas louper un article ;).

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Webcam Logitech Ultra Vision sous Ubuntu

Edit: le noyau Linux 2.6.26 (et supérieur) inclue le module uvcvideo. Il faut donc vérifier votre version du noyau Linux (avec la commande « uname -a ») avant de suivre cette procédure.

Je viens de recevoir une toute nouvelle Webcam: la logitech Quickcam Ultra Fusion. Cette dernière est compatible avec Ubuntu moyennant quelques manipulations.

La première chose à faire est d’installer la dernière version des drivers libres Linux UVC. Pour cela, il faut ouvrir un terminal et lancer les commandes suivantes:

# sudo apt-get install subversion
# svn checkout svn://svn.berlios.de/linux-uvc/linux-uvc/trunk linux-uvc
# cd linux-uvc
# make
# sudo make install

PS: selon la version de votre Ubuntu (par exemple la 6.x), il faut modifier le fichier Make et changer la ligne avant de faire le ‘make’:
INSTALL_MOD_DIR := usb/media
par la ligne
INSTALL_MOD_DIR := kernel/ubuntu/media/usbvideo

Pour tester la Webcam, je vous recommande d’utiliser l’outil luvcview, disponible ici. L’installation est alors la suivante:

# sudo apt-get install libsdl1.2-dev
# get http://mxhaard.free.fr/spca50x/Investigation/uvc/luvcview-20070512.tar.gz
# tar zxvf luvcview-20070512.tar.gz
# cd luvcview-20070512
# make
# sudo make install

Pour effectuer le test:

# /usr/local/bin/luvcview

PS: cette procèdure doit également fonctionner pour toutes autres Webcam reconnue par Linux UVC. La liste est disponible ici.