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Photomosaique facile…

On connaît tous cet effet consistant à recomposer une image à partir d’autres images (vous pouvez voir quelques exemples ici).  Je viens de découvrir un petit bijou de logiciel s’acquittant parfaitement de cette tache sous Mac. Il s’agit de  MozoDojo, un freeware développé par Pierre Chatelier.

Un bon exemple valant mieux qu’un long discours, nous allons voir comment créer une mosaïque à partir de base de donnée d’images stockées sur notre disque dur.

Après avoir télécharger et installer la dernière version du logiciel, la première étape consiste à choisir la banque d’images qui servira de base à la mosaïque. Dans notre exemple, nous allons sélectionner les images stockées dans la librairie iTunes (composée des pochettes des albums).

Mozodojo DB

Il faut ensuite sélectionner l’image source, celle que l’on veut transformer en mosaïque. Rien de tel qu’un beau portrait mégalo (comme tout blogueur qui se respecte).

Nico pas de mozaique

Reste alors à lancer le calcul de la mozaïque. Il faut noter que le calcul est très rapide (moins d’une minute sur mon MacBook Pro).

Mozodojo calcule

… et enfin admirer le résultat (cliquez sur l’image pour une version haute définition, utile pour voir les pochettes des CD…).

Nicomoz moz

Il ne vous reste plus qu’à créer votre propre mosaïque !

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Geolocalisation par adresse IP

La geolocalisation (ou tracking) IP consiste à obtenir la localisation d’une machine à partir de son adresse IP. On trouve facilement des sites permettant de déduire le pays d’origine à partir de l’adresse IP (mais une simple commande en ligne whois le fait aussi). Par contre, il est très difficile (voir impossible) de trouver des sites proposant gratuitement une localisation précise (type GPS).

GM

J’ai donc regardé du coté des forums US et je suis tombé sur le site NetGeo. Ce dernier propose une base de donnée librement accessible par simple requête HTTP.

Exemple sur l’adresse IP du site google.fr:

http://netgeo.caida.org/perl/netgeo.cgi?target=216.239.59.104

VERSION=1.0
TARGET: 216.239.59.104
NAME: GOOGLE
NUMBER: 216.239.32.0 – 216.239.63.255
CITY: MOUNTAIN VIEW
STATE: CALIFORNIA
COUNTRY: US
LAT: 37.41
LONG: -122.08

LAT_LONG_GRAN: City
LAST_UPDATED: 11-May-2001
NIC: ARIN
LOOKUP_TYPE: Block Allocation
RATING:
DOMAIN_GUESS: google.com
STATUS: OK

Il est alors très simple de localiser cette adresse sur une Google Map.

J’ai écris un script PHP Geolocip permettant de faire automatiquement une geolocalisation d’une adresse IP ainsi que la génération de l’URL vers Google Map.

PS: La base de donnée NetGeo n’est malheureusement plus mise à jour… si vous avez d’autres solutions, je suis très intéressé !

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Open-source Reseau Systeme

MacFUSE et SSH

MacFuse vient d’être mis à jour pour Mac OS 10.5 (Leopard). Cette application permet, entre autre, de « monter » (mount) simplement un répertoire distant en utilisant le protocole sécurisé SSH. Il est donc possible de parcourir l’arborescence d’un disque distant simplement en ayant le port TCP/22 (SSH) ouvert entre les machines.

J’avais écris il y a quelque temps un post sur MacFusion, une interface graphique pour manager le couple MacFuse+SSH. Nous allons ici nous focaliser sur l’installation de MacFuse et du module SSHfs ans passer par cette interface graphique.

Téléchargement des logiciels

Il faut se rendre sur le site suivant et télécharger MacFuse et SSHFS.

Installation des logiciels

L’installation de MacFUSE comme celle de SSHfs sont triviales. Il suffit de suivre les wizards.

Exemple d’utilisation

Imaginons que l’on veuille parcourir le disque de la machine 192.168.29.1 se trouvant sur notre réseau. La première chose à vérifier est que cette machine dispose d’un serveur SSH (sshd sous Linux) et d’un compte (login/password).

Avant la première connexion, il faut ouvrir un terminal et lancer la commande suivante:

# ssh -2 root@192.168.29.1

Celle-ci va permettre de récupérer la clès de chiffrement qui sera utilisé entre les deux machines (cette opération est donc seulement à fair eune fois).

Ensuite, il suffit de lancer le programme SSHFS.app

Une fenêtre s’ouvre pour saisir l’adresse du serveur (IP ou nom host), le login et éventuellement le répertoire distant.

Puis le mot de passe correspondant à votre login.

Si le montage se passe sans probème, un nouveau volume devrait apparaitre dans le Finder:

Vous pouvez également vérifier que le montage s’est bien déroulé en tapant la commande suivante:

# mount

sshfs#root@192.168.29.1: on /Volumes/192.168.29.1 (fusefs, nodev, nosuid, synchronous, mounted by hennionn)

Il ne vous reste plus qu’a parcourir, copier, effacer… enfin faire ce que vous voulez sur le disque distant avant de démonter le disque (ALT-E ou par un copier glisser dans la corbeille du disque).

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Open-source Reseau

Installation de Xorp sur Linux

Xorp logo Xorp est une couche de routage réseau open-source… Distribuée sous licence BSD, il implémente des mécanismes de routage IPv4 et IPv6 en unicast et multicast. Le principal avantage de Xorp est sa modularité qui permet de tester simplement de nouveaux protocoles de routage mettant souvent un certain temps avant d’être intégrés dans les noyaux Linux ou BSD.

Actuellement, Xorp supporte les protocoles de routage suivants:

  • Unicast:
    • RIP v2 en IPv4, ng en IPv6
    • BPG en IPv4 et IPv6
    • OSPF v2 et V3 en IPv4 et IPv6
  • Multicast:
    • PIM-SM IPv4 et IPv6
    • IGMP v1,v2,v3 en IPv4
    • MLD v1 et v2 en IPv6

Xorp est disponible sous BSD (FreeBSD, OpenBSD, NetBSD, Mac OS X) et Linux. Il existe même des portages sous Windows 2003 server mais seulement avec une compatibilité IPv4.

Nous allons dans ce premier billet sur le sujet installer Xorp sur une distribution Linux Ubuntu et mettre en place une configuration basique.

Installation de Xorp depuis les sources

J’ai choisi cette méthode car même si ce n’est pas la plus facile, elle permet de disposer de la dernière version disponible de Xorp.

# export CVSROOT= »:pserver:xorpcvs@anoncvs.xorp.org:/cvs »
# cvs login
– entrer un mot de passe vide
# cvs checkout xorp
# cd xorp
# ./configure
# make

PS: sur d’autres distribution (Linux ou BSD), il faut utiliser gmake à la place de make.

Validation de l’installation:

# make check
– Attention, ce test dure un long moment…

Configuration initiale

Nous allons dans un premier temps configurer Xorp avec une configuration très simple: la déclaration de deux interfaces réseaux. La première (eth0 dans mon cas) récupèrera sa configuration depuis le système (grâce à la commande default-system-config). La deuxième (eth1) est configurée de manière statique avec l’adresse 192.168.0.1.

# cd rtrmgr
# vi config.boot
interfaces {
interface eth0 {
disable: false
default-system-config
}
interface eth1 {
disable: false
vif eth1 {
address 192.168.0.1 {
prefix-length: 24
}
}
}
}

Lancement de xorp

# sudo ./xorp_rtrmgr

Pour accèder au shell (CLI) de Xorp:

# ./xorpsh

On vérifie alors que Xorp à bien pris en compte notre configuration des deux interfaces avec la commande suivante:

/> show interfaces
eth0/eth0: Flags: mtu 1500
inet6 fe80::204:75ff:fefe:68a3 prefixlen 64
inet 192.168.29.125 subnet 192.168.29.0/24 broadcast 192.168.29.255
physical index 3
ether 0:4:75:fe:68:a3
eth1/eth1: Flags: mtu 1500
inet 192.168.0.1 subnet 192.168.0.0/24 broadcast 192.168.0.255
physical index 2
ether 0:f:fe:77:2a:8b

Ajout d’une route statique

Pour ajouter une route statique dans Xorp, rien de plus simple:

# vi config.boot

static {
route 10.20.0.0/16 {
next-hop: 10.10.10.20
metric: 1
}
}

Dans cet exemple on dit à Xorp que pour joindre le réseau 10.20.0.0/16, il doit utiliser la passerelle 10.10.10.20.

Et maintenant on ajoute le routage

Pour ajouter un routage unicast IPv4 entre ces deux interfaces, il faut éditer le fichier de configuration et y ajouter:

# vi config.boot

fea {
unicast-forwarding4 {
disable: false
}
}

Et le multicast et les protocoles de routage dynamiques dans tout ça ? la suite dans un prochain épisode…

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A quel star je ressemble ?

Ben à Kevin Bacon …

et vous ?

PS: merci à Eric pour le lien

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Open-source Reseau

Installation de Zabbix sur Linux

Zabbix un un outil de monitoring système et réseau. Contrairement à des systèmes comme Nagios ou Cacti, il fonctionne seulement en mode client/serveur. C’est à dire que l’architecture se base sur un serveur (zabbix_server) qui va demander des informations à des clients (zabbix_agent). Nous allons dans ce billet détailler l’installation de Zabbix sur une distribution Linux Ubuntu.

Installation de Zabbix serveur

J’ai ici choisi de faire une installation depuis les sources, histoire d’avoir plus rapidement la dernière version, mais si vous préférez, il existe des versions pré-compilée pour Ubuntu 6.10.

Pré-requis au niveau des librairies de developpement:

# sudo apt-get install libsnmp-dev libcurl4-gnutls-dev libmysqlclient15-dev

Récupération des sources sur la page suivante puis compilation:

# tar zxvf zabbix-1.4.2.tar.gz
# cd zabbix-1.4.2
# ./configure –enable-server –with-mysql –with-net-snmp –with-libcurl
# sudo make install

Configuration de la base de donnée MySQL locale (il vous faut donc un serveur MySQL installé accessible avec le login/password: username/password).

# mysql -u -p

mysql> create database zabbix;
mysql> quit;
# cd create/schema
# cat mysql.sql | mysql -u root -p zabbix
# cd ../data
# cat data.sql | mysql -u
root -p zabbix # cat images_mysql.sql | mysql -u root -p zabbix

Création des fichiers de configuration:

# sudo mkdir /etc/zabbix
# sudo cp misc/conf/*.conf /etc/zabbix/
# vi /etc/zabbix/zabbix_server.conf

DBHost=localhost
DBUser=username
DBPassword=password

Création de l’interface Web:

# sudo mkdir /var/www/zabbix
# sudo cp -rf ./frontends/php/* /var/www/zabbix/
# vi /etc/php5/apache2/php.ini
max_execution_time = 300
date.timezone = Europe/Paris
# apache2ctl restart

Lancement du serveur:

# /usr/local/sbin/zabbix_server

En cas de problème, le serveur génère des logs dans le fichier /tmp/zabbix_server.log.

Se connecter à l’interface Web: http://localhost/zabbix/

Puis suivre le wizard de configuration:
Introduction – Next
Licence – I agree / Next
Pre-requisites – Verifier que tout est OK puis Next
Configure DB – Saisir username/password MySQL, test OK puis Next
Pre-installation summary – Next
Install – Cliquer sur le bouton « Save configuration file » et télécharger manuellement le fichier zabbix.conf.php dans le répertoire /var/www/zabbix/conf puis cliquez sur Next

Si l’installation se passe sans problème vous devriez être redirigé vers la page d’authentification du serveur Zabbix (login: admin / password: ).

Installation du client Zabbix

Cette installation est à faire sur toutes les machines à surveiller. L’agent (le client) Zabbix existe pré-compilé sur de nombreux OS (Linux Ubuntu / Fedora, FreeBSD, Windows…).

Par exemple pour installer l’agent Zabbix sur une machine Linux Ubuntu, il suffit de faire:

# sudo apt-get install zabbix_agent

Il faut ensuite configurer les fichiers zabbix_agent.conf et zabbix_agentd.conf:

# sudo vi /etc/zabbix/zabbix_agent.conf

Server=adresse IP du serveur Zabbix

# sudo vi /etc/zabbix/zabbix_agentd.conf

Server=adresse IP du serveur Zabbix

Puis lancer le client:

# sudo /etc/init.d/zabbix-agent start

Pour installer un agent Zabbix sous Windows, il suffit de récupérer le binaire sur le site, de décompresser l’archive (via WinRAR) à la racine de votre disque c: et de créer un fichier c:\zabbix_agent.conf contenant la ligne suivante:

Server=adresse IP du serveur Zabbix

Puis de lancer l’exécutable c:\bin\win32\zabbix_agentd.exe

Configuration initiale de Zabbix

La première chose à faire une fois logué dans l’interface Web du serveur est de cliquer sur le lien Profile (en haut à droite) afin de modifier le mot de passe et la langue (Zabbix est traduit en Français).

Ensuite il faut ajouter des machines à surveiller (les machines ou l’on a installé le client Zabbix). Il faut donc se rendre dans le menu Configuration/Hôtes et cliquer sur le bouton Create Host (comme quoi il reste des choses à traduire…). Saisir les informations sur la machine (nom, adresse, …).

Vous pouvez consulter la documentation , le wiki ou le forum pour aller plus loin.

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Blog Web

Classement des blogs rapides…

BipBip Voici le classement d’octobre 2007 sur la vitesse de chargement des blogs. Je me base sur le Top 10 du classement Wikio. La procédure de test est la suivante: 5 tests de chargement consécutifs (à 1 minute d’intervalle) effectués le 19 novembre 2007 vers 16h30 avec l’aide du site de test de chargement WebWait.

1 ) Embruns – 2.09 secondes
2 ) FredCavazza – 3.57 secondes
3 ) BigBangBlog – 4.49 secondes

4 ) Presse Citron – 4.65 secondes
5 ) TechCrunch – 6.77 secondes
6 ) Versac – 7.59 secondes
7 ) Transnets – 7.95 secondes
8 ) Loïc le Meur – 9.23 secondes
9 ) Mashable – 10.17 secondes
10) KelBlog – 18.48 secondes

Et votre « modeste » blog, il se situe où dans ce classement ?

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Systeme

Petite sélection de fonds d’écran

Quelques petits fonds d’écran pour égayer le bureau de vos Mac / Linux et Windows.



Sources: e-wallpapers / vladstudio / ndesign-studio

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Blog

Régies publicitaires et blogs

Depuis maintenant quelques mois, je teste un certain nombre de régies publicitaires sur mon blog parmi lesquelles on peut citer:

  • Google Adsense
  • Blogbang
  • Linklift

N’étant pas un blog influent (j’ai en moyenne entre 500 et 600 visiteurs uniques par jour), il peut être intéressant d’analyser le retour d’expérience de ces régies qui sont à la base conçue pour des sites avec un trafic beaucoup plus important.

Note: les informations données dans ce billet se base sur les mois d’aout / septembre et octobre 2007.


Rapport des gains (%)

Google Adsense

C’est sans conteste la régie qui me rapporte le plus (environ 46% des gains) malgré une parité euros/dollars très défavorable en ce moment.

Je vois à cela deux raisons:

  • la première est que les liens publicitaires sont souvent très pertinents
  • la seconde est le positionnement des publicités Google Ads dans mon blog: proche du contenu

De point de vu administration, c’est un vrai bonheur car on ne s’occupe de rien. Une fois le code inséré dans votre thème WordPress (je vous conseille l’installation du plugin WordPress Adsense-deluxe). Les publicités les plus adaptés s’affichent. Il faut juste noter qu’il faut attendre entre 30 minutes et 1 heure avant que les publicités affichées soient pertinentes.
BlogBang

Après un démarrage sur les chapeaux de roues en juillet 2007 (avec pour ma part des gains supérieurs à ceux de Google Ads), les gains se sont effondrés en aout pour enfin se stabiliser à 22% des gains sur mon bog.

Le principal reproche que l’on peut faire à cette régie est au niveau de l’administration. En effet, il faut sélectionner à la main les publicités que l’on veut publier sur sont sites. Il n’y a donc aucunes analyse du contenu de votre blog pour sélectionner automatiquement des publicités adaptées.

Je reviens plus en détail sur les raisons de mon départ de BlogBang dans ce billet.

Linklift

Cette dernière régie fonctionne sur un modèle différent. Contrairement à Google Ads et Blogbang qui rémunèrent les clients en fonction du nombre de clics sur les publicités (CPM), Linklift achète des espaces pour des annonceurs (un peu comme un spot publicitaire à la télé ou à la radio).

Linklift

Les prix de ces espaces sont basées sur un certains nombres de critères (popularité, nombre de pages vues par mois…). Cette régie me rapporte actuellement 32% de mes gains.L’administration est relativement simple. Il suffit d’attendre des propositions d’annonceurs et de valider un contrat avec eux (ces contrats ont une durée variable, de 1 à plusieurs mois).

et les autres… 

suite à mon départ de Blogbang, j’essaye actuellement  une autre régie bien connue: Tradedoubler. En terme de fonctionnement c’est un mélange de Linklift (pour le choix des annonceurs) et un système de commission pour la rémunération. Mes premières impressions sont que ce genre de régie n’est pas adapté à un blog comme le mien. En effet, il faut pour que je gagne de l’argent qu’un utilisateur clique sur une publicité et fasse un achat dans la foulée… J’attends la fin du mois pour rendre un avis plus définitif.

Et vous ? comment rémunérez vous votre blog ? Connaissez-vous d’autres régies adaptées à nos bébés ?

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Xmeeting: un client H.323 et SIP pour Mac OS X

J’étais depuis quelques temps à la recherche d’un client H.323 gratuit pour mon MacBook. J’ai trouvé mon bonheur avec Xmeeting. En plus d’implémenter toutes les fonctions d’un bon client H.323, il est en plus compatible avec le protocole émergeant dans la téléphonie: SIP. Pour ne rien gâcher, le client est open-source et disponible sous Sourceforge.

L’installation du logiciel ne pose aucun problème. Pour l’intégration à un Gatekeeper H.323 et au serveur SIP, il faut se rendre dans le menu Préférences/Comptes et créer les nouveaux comptes:

Il faut ensuite associé ces comptes (H.323 et SIP) à votre profil via le menu Préférences/Configuration:


L’intégration à Mac OS X est très bonne, notamment avec le carnet d’adresse. Il est ainsi possible de passer des appels téléphoniques directement en sélectionnant un numéro de téléphone (si vous avez une passerelle SIP) ou une adresse IP d’un client SIP ou H.323.

Au niveau technique, en plus du support de SIP et H.323, le logiciel propose:

  • codecs video: H.264 / H.263 et H.261
  • codecs audio: G.711 uLaw & -ALaw avec fonction de suppression d’écho
  • STUN pour rendre compatible le H.323 avec les réseaux « NATés »
  • enregistrement possible des conférences au format QuickTime