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Emulateur Windows sous Mac OS X

Je pense qu’il vous ai déjà arrivé de devoir utiliser un logiciel qui ne tournait pas sur votre « operating system ». C’est ce qui m’est arrivé ce matin lorsque que j’ai voulu administrer un boîtier Wifi depuis mon Mac. Le constructeur (le fourbe) ne fournissait qu’un pauvre logiciel sous Windows.

Je me suis donc lancé à la recherche d’un émulateur Windows pour Mac OS X. Encore une fois le monde du libre m’a apporté la solution sur un plateau: Wine !

Compilation de Wine

Il faut d’abord se rendre sur la page suivante pour récupérer les derniers sources disponibles (format tar.bz2).

Une fois les sources téléchargées sur votre disque, il faut lancer la compilation (elle nécessite l’installation préalable de Xcode et du pack X11 disponibles sur votre DVD d’installation de Mac OS X).

# ./configure
# make depend && make
# sudo make install

Exécution d’un programme Windows sous Mac OS X avec Wine

Imaginons que l’on veuille lancer le programme toto.exe (binaire Windows). Il suffit de taper la ligne de commande suivante:

# wine toto.exe

 

Et le programme devrait se lancer automatiquement ! C’est pas beau ça !

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Top 10 des applications open-source pour Mac OS X

Voici une sélection de 10 logiciels open-source que je trouve indispensables pour tout utilisateur de Mac OS X

.1 Vienna: C’est LE lecteur de flux RSS open-source sur l’OS Apple. Il permet la lecture des billets des blogs auquel vous êtes abonnez. Un gain de temps de de convivialité pour tout surfer ! (<autopromo>pour vous abonnez au flux RSS du blog de Nicolargo, c’est par ici </autopromo>)

2. Adium: Fini la multiplication des logiciels de messagerie instantané (IM), MSN, Google Talk, ICQ on trouvé leur maître ! Adium permet à partir d’une même interface de se connecter simultanément à plusieurs comptes d’IM. L’intégration à Mac OS X est très bien faîte, bref un must !

3. Xmeeting: Déjà présenté dans ce billet, Xmeeting est un client H.323 complet permettant de se connecter à un réseau H.323 existant. Il est compatible avec les dernières normes sur le sujet (H.264 / gatekeeper, STUN…).

4. Filezilla: Si vous avez besoin d’un client FTP simple, rapide et stable, ne chercher pas plus loin. C’est pour moi le seul et l’unique sur Mac OS X (mais aussi sous Windows et Linux…).

5. MacFUSE et SSHFSSi comme moi vous administrez des machines en utilisant le protocole SSH, le couple MacFuse et SSHFS permet de « monter » un répertoire distant via le protocole SSH et de le voir comme un répertoire local.

6. Transmission : Pour les échanges PeerToPeer, le protocole bittorrent est devenu un standard de fait. Transmission est un client multi plate-forme disponible sous Mac OS X et qui fait exactement ce que l’on attend de lui !

7. VLC: Si vous suivez ce blog, vous savez tout le bien que je pense de ce logiciel de lecture de fichiers multimedia (audio / video). Il permet également de streamer des flux sur votre réseau local.

8. Wireshark: Ethereal est mort, vive Wireshark ! Ce logiciel permet de capturer et d’analyser tout flux réseau transitant par une interface (Ethernet, Wifi…). Pour les débutant, j’ai écris un tutorial sur le sujet.

9. Handbrake: Ce logiciel permet d’encoder un DVD dans un format compressé (DiVX, MPEG4 ou autres…). Il peut utiliser FFMpeg et ses nombreux formats d’encodage audio et video.

10. Seneti: Si vous n’avez jamais essayé de transférer simplement vos MP3 de votre IPod vers votre Mac, vous ne pouvez pas comprendre le bonheur de disposer d’un logiciel comme Seneti !

Voyer vous d’autres logiciels Open-Source qui peuvent entrer dans ce classement ?

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Streaming avec VLC et VLM

Suite des articles sur VideoLAN, nous allons aujourd’hui nous pencher sur l’interface VLM du client VideoLAN. Cette interface permet de créer un serveur pouvant lancer des streaming audio et video soit à la demande, soit en fonction d’une plage horaire.

Voici un schéma fonctionnel du système:

En entrée, on peut donc avoir:

En sortie, VLC va générer un streaming IP pouvant se baser sur les protocoles suivants:

  • HTTP (c’est du TCP, donc adapté pour des streaming de basses qualités sur des réseaux sans qualité de service. ex: Internet)
  • MMSH (MMS sur HTTP, même remarque que pour le HTTP. Le principal avantage (le seul ?) de ce protocole est qu’il peut être lu par des clients Windows Media Player)
  • UDP (permet un diffusion simple et sans overhead d’un streaming. Par contre, il n’y aucun contrôle… en cas de problème sur le réseau, les clients recevrons une vidéo dégradée ou plus de vidéo du tout)
  • RTP (c’est un bon compromis. bassée sur UDP il permet d’avoir des statistiques sur le flux. Les prochaines versions de VideoLAN devraient inclure la prise en compte du protocole RTCP permettant de modifier dynamiquement le flux en fonction des contraintes du réseau)

Il est bien sûr possible et conseiller d’encoder ou de ré-encoder l’entrée selon vos besoins (MPEG-1, MPEG-2, MPEG-4, H.264…).
Lancement de VLC avec l’interface VLM
L’interface VLM peut être administrée par ligne de commande (Telnet) ou interface Web. Nous allons étudier dans ce billet la première solution, beaucoup plus souple et simple que la seconde.
La première chose à faire est de lancer VLC avec l’interface Telnet:

# vlc –intf telnet
VLC media player 0.8.6c Janus
[00000287] main interface: creating VLM
[00000287] telnet interface: using the VLM interface plugin…
[00000287] telnet interface: telnet interface started on interface 4212

Comme on peut le voir, le serveur se lance en écoute sur le port TCP/4212
Administration de VLM via telnet
Nous allons donc ouvrir une session telnet sur le port 4212 (on part sur le principe ou l’on administre la machine en local, si ce n’est pas le cas, il faudra que vous remplaciez l’adresse 127.0.0.1 par l’adresse IP de votre machine).

# telnet localhost 4212
telnet 127.0.0.1 4212
Trying 127.0.0.1…
Connected to 127.0.0.1.
Escape character is ‘^]’.
Password: admin
Welcome, Master>

Nous voilà donc dans le shell de VLM. La liste des commandes disponibles peut être affichée grâce à la commande help.
Reste à voir command créer un streaming (media dans la nomenclature VLC).
Création d’un streaming à partir d’un fichier DivX
Dans ce premier exemple nous allons créer un streaming à partir d’un fichier source Divx. Ce streaming sera démarré sur action de l’administrateur (c’est à dire vous…).
Nous allons donc procéder à la création du media que nous allons nommer mondivx.

> new mondivx broadcast enabled
> setup mondivx input « Star_Wars_3.avi »
> setup mondivx output #transcode{vcodec=mp4v,vb=768,scale=1}:duplicate{dst=std{access=udp,mux=ts,dst=192.168.0.100:1234}}

La première ligne permet de créer et d’activer le media mondivx.La seconde configure la source (ici notre fichier DivX).La troisième configure le streaming. Vous pouvez faire un copier/coller de ceux qui est affiché par VideoLAN. Dans mon exemple, je diffuse en UDP vers l’adresse 192.168.0.100 (port UDP/1234).
La commande suivant permet de visualiser la liste des médias créés.

> showshow media : ( 1 broadcast – 0 vod ) mondivx type : broadcast enabled : yes instances schedule

On voit donc que le serveur VLM à 1 média de type broadcast qui se nomme mondivx.
Pour afficher le détail du média, on utilise la commande:

> show mondivxshow fileunicast type : broadcast enabled : yes loop : no inputs Star_Wars_3.avi output : #transcode{vcodec=mp4v,vb=768,scale=1}:duplicate{dst=std{access=udp,mux=ts,dst=192.168.29.157:1234}} options instances

Lancement du streaming
C’est très simple:

> control mondivx play

Pour visualiser le streaming, il suffit d’ouvrir VideoLAN (sur la machine 192.168.0.100) et de choisir « Ouvrir un flux réseau » , UDP port 1234.
Pour l’arrêter:

> control mondivx play

Création d’une streaming à partir d’une carte d’acquisition vidéo
Si vous disposé d’une carte d’acquisition vidéo ou d’une WebCam (reconnue par v4l), il suffit de configurer un nouveau media (dans mon cas mon device video est mappé sur /dev/video1).

> new macamera broadcast enabled
> setup macamera input « v4l:// »
> setup macamera option v4l-vdev=/dev/video1> setup macamera option v4l-adev=/dev/dsp> setup macamera option v4l-norm=0> setup macamera option v4l-frequency=-1> setup macamera option v4l-width=640> setup macamera option v4l-height=480> setup macamera output #transcode{vcodec=mp4v,vb=768,scale=1}:duplicate{dst=std{access=udp,mux=ts,dst=192.168.0.100:1234}}

La seule différence avec le media mondivx est la source (camera).
Pour lancer le streaming:

> control macamera play

Pour visualiser le streaming, il suffit d’ouvrir VideoLAN (sur la machine 192.168.0.100) et de choisir « Ouvrir un flux réseau » , UDP port 1234.
Pour l’arrêter:

> control macamera play

Programmer des streamings

Une des fonctions intéressante de VLM est la possibilité d’automatiser le lancement et l’arrêt d’un streaming (media) à des heures données.

Pour cela nous allons définir deux horaires (celui de départ et celui de fin):

> new camera_start schedule enabled
> setup camera_start date 2007/12/31-23:00:00
> new camera_stop schedule enabled
> setup camera_stop date 2007/12/31-23:59:59

Puis l’affecter au media macamera préalablement créé.

> setup camera_start append control macamera play
> setup camera_stop append control macamera stop

Le streaming sera donc automatiquement démarré le 31 décembre 2007 à 23h00 et arrêté le même jour à 23h59.
Voici donc un rapide aperçu des fonctions de VLM. Il est également possible de faire de la VoD (vidéo à la demande). On abordera sûrement ce sujet dans un prochain billet.

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C’est Noël chez DivX

DivX propose pour une durée indéterminée le téléchargement gratuit de DivX Pro 6.8 (normalement le prix de 20$). Ce pack logiciel comprend le codec pro 6.8, l’encodeur et le convertisseur vidéo.

Pour profiter de cette offre, il faut ce rendre ici si vous êtes sous Windows ou là si vous êtes sous Mac.

Le site vous demandera une adresse mail ou la le numéro de licence vous sera envoyé.

Source: Clubic.

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Carte d’encodage video Osprey sous Linux

J’ai dû me pencher sur le cas suivant: utilisation d’une carte Osprey 100 (carte de capture/encodage vidéo) sous Linux Ubuntu. Bonne nouvelle pour ceux que cela intéresse, la carte Osprey (construite autout chipset bt878) est maintenant reconnue en standard. Plus besoin donc de passer par une fastidieuse installation de driver.

La configuration que j’utilise est la suivante:

  • Ubuntu 7.10
  • Carte Osprey 100 (chipset bt878)
  • Camera numérique Sony

Nous allons donc dans un premier temps vérifier que la carte est bien reconnue, puis la tester avec le bien connu client VideoLAN (VLC).

Vérifier que votre carte est reconnue

Après l’installation de la carte dans un port PCI de votre machine, il faut lancer la commande dmesg et vérifier que les lignes « bttv » sont bien présentes.

# dmesg

[ 25.223280] bttv: driver version 0.9.17 loaded
[ 25.223285] bttv: using 8 buffers with 2080k (520 pages) each for capture
[ 25.223332] bttv: Bt8xx card found (0).
[ 25.223345] ACPI: PCI Interrupt 0000:07:09.0[A] -> GSI 21 (level, low) -> IRQ 17
[ 25.223363] bttv0: Bt878 (rev 2) at 0000:07:09.0, irq: 17, latency: 32, mmio: 0xf0800000
[ 25.223374] bttv0: detected: Osprey-100 [card=82], PCI subsystem ID is 0070:ff00
[ 25.223376] bttv0: using: Osprey 100/150 (878) [card=82,autodetected]
[ 25.223399] bttv0: gpio: en=00000000, out=00000000 in=00ffffff [init]
[ 25.248231] bttv0: osprey eeprom: card=82 name=Osprey 100/150 (878) serial=1516003
[ 25.248234] bttv0: using tuner=-1
[ 25.248237] bttv0: i2c: checking for TDA9887 @ 0x86… not found
[ 25.248910] bttv0: registered device video0
[ 25.248934] bttv0: registered device vbi0
[ 25.248956] bttv0: PLL: 28636363 => 35468950 .<6>tpm_inf_pnp 00:0b: Found TPM with ID IFX0102…

Puis ensuite confirmer grâce à la commande lspci:

# lspci | grep 878
07:09.0 Multimedia video controller: Brooktree Corporation Bt878 Video Capture (rev 02)
07:09.1 Multimedia controller: Brooktree Corporation Bt878 Audio Capture (rev 02)

Tester la carte

Pour tester, nous allons utiliser VLC. Si votre carte est assignée au device video0 (comme pour moi), alors il suffit de lancer VLC, cliquer sur Fichier/Ouvrir un périphérique de capture, renseigner les champs Nom du périphérique (avec /dev/video0) et Norme (avec PAL) puis cliqer sur OK. VLC devrait, si tout va bien afficher la video capturée par la carte Osprey.
Exemple équivalent en ligne de commande pour streamer depuis la caméra vers une adresse IP 192.168.0.1:

# vlc v4l:// :v4l-vdev= »/dev/video0″ :v4l-adev= »/dev/dsp » :v4l-norm=0 :v4l-frequency=-1 –sout ‘#transcode{vcodec=mp4v,vb=768,scale=1}:duplicate{dst=display,dst=std{access=udp,mux=ts,dst=192.168.29.157:1234}}’

Il ne vous reste plus qu’a suivre un des nombreux tutorial disponible sur le Web pour streamer votre video en IP sur votre réseau.

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Des graphes dans Nagios avec PNP

Cette procédure est obsolète (écrite pour la version 0.4.x de Pnp4Nagios).

=> Merci de consulter cette procédure

PNP is not PerfParse est un module permettant à Nagios de stocker dans une base RRD et d’afficher via une interface Web des données provenant de vos plugins Nagios. Actuellement en version de développement (0.4.14 au moment de l’écriture de ce billet), PNP comble un manque important dans Nagios: la génération de graphiques personnalisés intégrés à l’interface Web.

Nous allons dans ce billet installer PNP sur une configuration Nagios existante (cliquez ici pour accèder à des tutoriels d’installation de Nagios).

Update du 24/08/2009: Mise à jour de la procédure pour PNP version 0.4.14 et suppression des informations concernant la version 2.x de Nagios.

Compilation de PNP

On récupère la dernière version des sources et on décompresse (en root):

# cd /usr/src
# wget http://downloads.sourceforge.net/pnp4nagios/pnp-0.4.14.tar.gz
# tar zxvf pnp-0.4.14.tar.gz
# cd pnp-0.4.14

Puis on configure:

# ./configure
General Options:
————————-         ——————-
Nagios user/group:                nagios nagios
Install directory:                /usr/local/nagios
HTML Dir:                         /usr/local/nagios/share/pnp
Config Dir:                       /usr/local/nagios/etc/pnp
Location of rrdtool binary:       /usr/bin/rrdtool Version 1.2.15
RRDs Perl Modules:                FOUND (Version 1.2015)
RRD Files stored in:              /usr/local/nagios/share/perfdata
process_perfdata.pl Logfile:      /usr/local/nagios/var/perfdata.log
Perfdata files (NPCD) stored in:  /usr/local/nagios/var/spool/perfdata/

Il faut vérifier que le résultat de cette configuration correspond à votre système, puis ensuite seulement lancer la compilation:

# make all
# make install
# make install-config

Configuration initiale de PNP

Il existe 3 méthodes pour intégrer PNP à Nagios. Dans ce billet, nous allons aborder la seconde (appelée « bulk-mode ») qui est un bon compromis entre la complexité d’installation et les performances obtenues.

Dans cette installation « bulk-mode », les données de vos futurs graphes sont collectés dans un fichier temporaire. Ce fichier est traité de manière à intervalles réguliers par le script perl process_perfdata.pl.

La première chose à faire est d’éditer le fichier nagios.cfg et de modifier la configuration:

# sudo vi /usr/local/nagios/etc/nagios.cfg

process_performance_data=1

#
# service performance data
#service_perfdata_file=/usr/local/nagios/var/service-perfdata
service_perfdata_file_template=DATATYPE::SERVICEPERFDATA\tTIMET::$TIMET$\tHOSTNAME::$HOSTNAME$\tSERVICEDESC::$SERVICEDESC$\tSERVICEPERFDATA::$SERVICEPERFDATA$\tSERVICECHECKCOMMAND::$SERVICECHECKCOMMAND$\tHOSTSTATE::$HOSTSTATE$\tHOSTSTATETYPE::$HOSTSTATETYPE$\tSERVICESTATE::$SERVICESTATE$\tSERVICESTATETYPE::$SERVICESTATETYPE$
service_perfdata_file_mode=a
service_perfdata_file_processing_interval=15
service_perfdata_file_processing_command=process-service-perfdata-file

#
# host performance data
#

host_perfdata_file=/usr/local/nagios/var/hostperfdata
host_perfdata_file_template=DATATYPE::HOSTPERFDATA\tTIMET::$TIMET$\tHOSTNAME::$HOSTNAME$\tHOSTPERFDATA::$HOSTPERFDATA$\tHOSTCHECKCOMMAND::$HOSTCHECKCOMMAND$\tHOSTSTATE::$HOSTSTATE$\tHOSTSTATETYPE::$HOSTSTATETYPE$
host_perfdata_file_mode=a
host_perfdata_file_processing_interval=15
host_perfdata_file_processing_command=process-host-perfdata-file

Reste à éditer le fichier commands.cfg (/usr/local/nagios/etc/objects/commands.cfg sous Nagios 3):

# sudo vi commands.cfg
define command{
command_name    process-service-perfdata
command_line    $USER1$/process_perfdata.pl –bulk=/usr/local/nagios/var/service-perfdata
}

define command{
command_name process-host-perfdata-file
command_line $USER1$/process_perfdata.pl –bulk=/usr/local/nagios/var/host-perfdata
}

Reste à vérifier votre configuration et à relancer Nagios:

# /usr/local/nagios/bin/nagios -v /usr/local/nagios/etc/nagios.cfg
# /etc/init.d/nagios restart

Remarque, si vous rencontrez l’erreur suivant:

Error: Unable to write to temp_path (‘/usr/local/nagios/var/spool/checkresults’) – Permission denied
Error: Unable to write to check_result_path (‘/usr/local/nagios/var/spool/checkresults’) – Permission denied

Il faut modifier les droits sur le répertoire en faisant:

# sudo chmod -R 777 /usr/local/nagios/var/spool/checkresults

Puis pour Nagios 3:

# sudo chown -R nagios:nagios /usr/local/nagios/var/hostperfdata

Comment accéder à PNP

Maintenant que l’installation est terminé, vous pouvez accéder à l’interface Web via l’URL suivante: http://AdresseServeurNagios/nagios/pnp/

Voici un aperçu de l’interface:

 

Intégrer PNP à Nagios

Après installation on a donc deux interfaces Web distinctes: celle de Nagios et celle de PNP. Pour intégrer PNP dans Nagios, il faut utiliser les action_url.

 

Sous Nagios 3, c’est dans le fichier template.cfg qu’il faut faire les ajouts:

define host {
name nomdutemplatehost

action_url /nagios/pnp/index.php?host=$HOSTNAME$
}

define host {
name nomdutemplateservice

action_url /nagios/pnp/index.php?host=$HOSTNAME$&srv=$SERVICEDESC$
}

 

Une fois Nagios redémarré, une nouvelle icône ( ) devrait apparaître à coté des hosts et services concernés:

Vous avez donc maintenant un nouvel outil bien utile intégré à Nagios. Pour aller plus loin (notamment si vous souhaitez écrire vos propres templates), le mieux est de se rendre sur le site officiel de PNP.

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IMAP de Gmail et Apple Mail de Leopard

Mon compte Gmail vient d’être mis à jour avec l’apparition des nouvelles fonctions IMAP. Nous allons dans ce billet détailler la procédure pour configurer votre application Apple Mail version 3.0 (c’est à dire celle de Leopard) avec votre compte Gmail IMAP.

Gmail IMAP Mac

Avant de commencer un petit rappel sur le protocole IMAP. Contrairement à POP, le protocole IMAP laisse les messages sur le serveur, il est donc possible de consulter sa messagerie de manière synchronisé à partir de différents point (par exemple à partir d’un client sur votre Mac et d’un autre sur votre PC et enfin d’un dernier sur votre PDA). Il apporte également des fonctions comme la gestion des dossiers pour classer ces mails.

Procédure à suivre pour accéder à votre compte Gmail IMAP avec Apple Mail 3.0:

La première chose à faire est d’activer le protocole IMAP sur votre compte:

  • Connectez vous sur votre compte Gmail (http://www.gmail.com)
  • Cliquer sur Paramètre (en haut à droite)
  • Dans l’onglet General, choisir English (US) comme langue d’affichage de Gmail
  • Cliquer sur le bouton Enregistrer…
  • Cliquer sur Settings (en haut à droite)
  • Dans l’onglet Forward and POP/IMAP, cliquer sur le bouton Enable IMAP
  • Cliquer sur le bouton Save changes
  • Cliquer sur Settings (en haut à droite)
  • Dans l’onglet General, choisir Francais comme langue d’affichage de Gmail
  • Cliquer sur le bouton Save changes

PS: nous sommes obligé de passer l’interface en Anglais pour être sur de disposer de la dernière version (et donc des nouvelles fonctions) de Gmail.
La seconde étape consiste à configurer Apple Mail 3.0:

  • Ouvrir Apple Mail et cliquer sur le menu Mail/Préférences
  • Dans l’onglet Comptes, appuyer sur le bouton +
  • Saisir votre Nom / adresse Gmail et mot de passe Gmail et décoché la case « Configurer automatiquement le compte »
  • Changer l’adresse le type de compte en IMAP et l’adresse du serveur de réception en imap.gmail.com

La synchronisation initiale devrait prendre un peu de temps (selon le nombre de messages et la rapidité de votre liaison Internet), elle inclura les en-têtes de tous les messages ainsi que les dossiers que vous avez créé dans Gmail.

Et voilà le travail !

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Plus loin dans les statistiques FeedBurner

Si vous avez un blog, il y a de forte chance que vous utilisiez le service Feedburner (maintenant Google) pour les statistiques de vos flux RSS.  Je viens de trouver via un blog américain, un outil nommé Feed Analysis permettant de générer un rapport complet de vos flux RSS à partir des données collectées par Feedburner.

Feed analysis

Comment obtenir ce rapport ? c’est assez simple: la première chose à faire est de se connecter sur son compte Feedburner et de récupérer les données de votre flux RSS au format CSV.

Feedburner CSV

Sauvegardez le fichier (exportcsv) sur votre disque dur.

Il faut ensuite se rendre sur le site de Feed Analysis, puis saisir l’emplacement du fichier exportcsv stocké sur votre disque dur et cliquer enfin sur le bouton Generate Report.

Feed analysis link

 Après quelques secondes, le rapport devrait apparaître.:

  • Nombre d’abonnés par mois (minimum et maximum)
  • Nombre d’abonnés / click (liens cliqués) /  views (pages vues)
  • Evolution à moyen terme
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Plugin QuickLook pour les répertoires

Les plugins pour Quick Look, la nouvelle fonction de Mac OS X permettant de voir les fichiers sans ouvrir les applications, commencent à arriver sur nos Mac. Un des lecteurs du blog m’a fait découvrir un d’entre eux: Folder Quick Look plugin. Il permet de voir le contenu d’un répertoire de manière bien plus agréable que la fonction par défaut proposée par Apple.

Quick Look Folder

Le plugin est écrit par un  japonais et les instructions d’installation sont en Anglais. Comme je suis de bonne humeur (on est vendredi), voici la procédure d’installation en Français:

  • Télécharger la dernière version du logiciel à partir du site officiel (c’est un fichier zip)
  • Dézipper  le fichier, un répertoire nommé Folder va être créé
  • A partir du Finder, allez dans le répertoire Mac HD / Bibliothèque / QuickLook
    PS: si le répertoire QuickLook n’existe pas, il faut le créer.
  • Copier alors  le fichier Folder.qlgenerator qui se trouve dans le répertoire Folder vers le répertoire QuickLook

Il ne reste plus qu’à tester en cliquant sur un répertoire dans le Finder et en appuyant sur la touche Espace pour lancer Quick Look. That all folk !

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Blog

Sondage: combien rapporte votre blog ?

Suite à la lecture d’un article sur Problogger concernant le gain des blogueurs aux US, je trouve intéressant d’avoir ce genre d’information pour les blogs Francophones. Voici donc le sondage concernant le mois d’octobre 2007:

Merci pour votre participation !