Comme on est vendredi, que c’est donc bientôt le week-end et que la méteo s’annonce mauvaise, je vous conseille (comme je l’ai déjà fait dans un précédent billet) de vous plonger dans l’écoute d’un petit bijou signé Beirut: The Flying Club.

Créateur de blog de Nicolargo, je suis un partisan des logiciels libres et un passionné des nouvelles technologies.
Comme on est vendredi, que c’est donc bientôt le week-end et que la méteo s’annonce mauvaise, je vous conseille (comme je l’ai déjà fait dans un précédent billet) de vous plonger dans l’écoute d’un petit bijou signé Beirut: The Flying Club.
Si comme moi vous aimeriez maîtriser Photoshop comme un professionnel (pour illustrer votre blog ou pour épater votre entourage avec des trucages sur les dernières photos de vacance) Smashing Magazine a pensé à vous avec leurs listes des meilleurs tutoriels pour Photoshop.
Quelques exemples:
A bookmarker et utiliser de toute urgence.
En ce début d’année, je regardais les statistiques de mon blog pour l’année 2007. Je me suis tout particulièrement penché sur les sources du trafic (c’est à dire l’art de connaître d’où viennent les visiteurs) et plus particulièrement la répartition entre les différents moteurs de recherche. Je dois avouer que j’ai été étonné par le score de Google par rapport à la concurrence (si on peut appeler ça de la concurrence…).
Les chiffres pour mon blog sont les suivants (en me limitant au 5 premiers):
Une étude faite au US montre que la répartition des requêtes entre Google / Yahoo et MSN se situe autour des valeurs suivantes (chiffre de décembre 2007):
D’autres statistiques focalisées sur la France montre une répartition plus encore à l’avantage de Google (les chiffres datent de 2006):
Dans les deux cas, mon blog est beaucoup plus favorable à Google. Ce qui m’emmène à me poser la question suivante: pourquoi ?
La première raison peut venir de l’optimisation de mon site qui utilise des plugins WordPress comme Google XML Sitemap afin d’automatiser la génération du fichier sitemap (XML) dont Google se sert pour l’indexation des pages. Je ne pense pas que cette première raison soit suffisante pour expliquer l’écart entre Google et le reste du monde. En effet, de plus en plus de moteurs de recherche (comme Yahoo et « prochainement? » MSN) utilisent également ces fichiers sitemap.
La deuxième raison est dans la déclaration du site sur les moteurs de recherche. En effet, Google est le premier moteur de recherche dans lequel j’ai déclaré mon blog. Cependant cette raison ne me semble pas plus importante. En effet les autres moteurs de recherche connaissent mon blog et ce dernier est même plutôt bien placé sur certaines requêtes.
La dernière raison, qui je pense est la plus significative, vient des habitudes des lecteurs ciblés par mon blog. En effet, ce dernier s’adresse majoritairement à une population initiée (coucou les geeks). Cette population ayant plutôt tendance à utiliser Google par rapport à MSN ou Yahoo, on peut donc plus facilement expliquer le haut pourcentage obtenu. Pour vérifier cette hypothése, il faudrait recouper avec des statistiques de blogs grands public (coucou la ménagère de moins de 50 ans). Les statistiques de ces derniers devraient se rapprocher des moyennes Française (c’est à dire avec une Google proche des 90%).
Et vous amis blogueurs, quel est la part de Google dans vos visites par rapport aux autres moteurs de recherche ?
Google dans sa grande bonté propose une API bien utile pour les blogueurs et webmasters en herbe qui veulent simplement intégrer des graphes dans leurs sites. Cette API, nommée Google Chart API, offre une interface de type URL. Nous allons ci-dessous en détailler l’utilisation.Pour illustrer ce billet, nous allons utiliser les tableaux de données suivants que nous voulons transformer en graphes.Tableau n°1:
Tableau n°2:
Une premier graphe simpleL’API de Google Chart se déclenche à partir d’une URL dont le format est le suivant:
http://chart.apis.google.com/chart?<parametre 1>&<parametre 2>
&<parametre n>
et génère une image que l’on pourra facilement intégrer à sa page Web avec un tag de type <img src= »URL »>.Le premier paramètre que l’on peut configurer est la taille finale du graphe (donc de l’image produite par l’API):
chs=<largeur pixels>x<hauteur en pixels>
par exemple si on veut générer un graphe de 300×200, le premier paramètre de votre URL sera:
chs=300×200
le deuxième paramètre sera le type de graphe. Pour cela on utilise le paramètre cht:
cht=<type de graphe>
par exemple pour illustrer le tableau n°, on pourra choisir un graphe de type ligne (line chart= »lc »).
cht=lc
Il ne reste plus qu’a fournir les données du tableau grâce aux paramètres chd:
chd=t:<val 1>,<val 2>, <val 3>
qui dans notre exemple se traduit par:
chd=t:30,36,47,50,48
Pour résumer ce premier exemple, l’URL correspondant à l’image du graphe du tableau n°1 sera:
http://chart.apis.google.com/chart?chs=300x200
&cht=lc
&chd=t:30,36,47,50,48
Le graphe généré sera donc:
Pour améliorer la visibilité, on peut également ajouter des légendes. Pour cela on précise d’abord que les légendes en x et en y sont requises:
chxt=x,y
puis on définit ces légendes:
chxl=0:|Janvier|Février|Mars|Avril|Mai|
on donne enfin un nom au graphe:
chtt=Tableau+n+°+1
L’URL et le résultat correspondant sont les suivantes:
http://chart.apis.google.com/chart?chs=300x200
&cht=lc
&chd=t:30,36,47,50,48&chxt=x,y&chxl=0:|Janvier|Février|Mars|Avril|Mai|&chtt=Tableau+n+°+1
Le graphe généré sera donc:
On améliore le visuel du graphe
Il est possible de modifier ce premier exemple pour mieux l’intégrer dans le design de votre site.
Par exemple l’option chts permet de définir la fonte et la couleur à utiliser pour le titre du graphe:
&chts=D0A825,14
ce qui donne:
Il est également possible de modifier le fond du graphe en lui appliquant un dégradé:
chf=c,lg,90,76A4FB,0.5,ffffff,0
ce qui donne:
Des camemberts ! Des camemberts !
D’autres type de graphes sont bien entendu disponibles, par exemple les camemberts, très utiles pour illustrer des données comme notre tableau n°2.
Camembert 2D: cht=p2
Camembert 3D: cht=p3
L’URL à utiliser est alors la suivante:
http://chart.apis.google.com/chart?chs=400x200
&cht=p3
&chd=t:8,5,2&chxt=x,y&chl=|Citron|Pomme|Poire|&chtt=Tableau+n+°+2
Le graphe généré sera donc:
Ce billet n’est qu’une rapide introduction à cette API, si vous voulez allez plus loin et découvrir tout les graphes que vous pouvez intégrer dans vos site, il faut prendre votre Harrap’s et vous rendre sur le site officiel de Google Chart API.
Je viens de mettre en ligne une nouvelle version (v0.9) du plugin WordPress Ziki permettant d’afficher son profil numérique sous la forme d’un widget dans la barre de menu (sidebar).
Cette dernière version corrige un bug au niveau de l’affichage de l’avatar suite à une modification des URL sur le site Ziki.
Vous pouvez obtenir la dernière version sur le site officiel et lire une documentation plus précise dans ce billet.
PS: si vous n’êtes pas encore inscrit sur Ziki, c’est le moment ou jamais de créer un compte en cliquant sur la bannière ci-dessous.
Voici un concentré des albums qui m’ont fait vibrés l’année dernière et qui méritent tous d’être découvert (ou re-découvert).
En bonus, une playlist Deezer tirée de ces albums !
Bonne écoute 😉
PS: si Eric passe par là, on aimerait bien une compilation du meilleur des Happy hours 2007 !
Nous commençons l’année 2008 avec un billet regroupant des exemples d’utilisation d’IPerf, l’outil en ligne de commande indispensable pour tester un réseau informatique.
Pour rappel, IPerf est un logiciel client/serveur, il faut donc deux machines positionner aux deux extremités du réseau à tester pour fonctionner (pour l’installation et une rapide introduction, vous pouvez consulter ce billet).
Dans les exemples ci-dessous, nous allons considérer que nous allons utiliser deux machines nommées C (avec comme adresse IP: IPC) et S (avec comme adresse IP: IPS).
Attention, cette méthode mesure la bande passante au moment du test. Ce dernier dure par défaut 10 secondes et utilise le protocole TCP sur le port 5001.
Sur la machine S: # iperf -s
Sur la machine C: # iperf -c IPS
Résultat (à lire sur la machine S):
————————————————————
Server listening on TCP port 5001TCP window size: 56.0 KByte (default)
————————————————————
[ 6] local 192.168.29.1 port 5001 connected with 192.168.29.157 port 54334
[ 6] 0.0-10.0 sec 112 MBytes 93.7 Mbits/sec
On génère ici un flux en utilisant le protocole UDP et en fixant la bande passante à 1 Megabits par seconde. Le test dure par défaut 10 secondes.
Il est possible de choisir l’unité de mesure de débit avec l’option -b et en collant les lettres suivantes aux débits:
pour un débit en octets par seconde, il faut utiliser ces lettres en majuscule)
Sur la machine S: # iperf -s -u
Sur la machine C: # iperf -c IPS -u -b 4m
Résultat (à lire sur la machine S):
————————————————————
Server listening on UDP port 5001
Receiving 1470 byte datagrams
UDP buffer size: 41.1 KByte (default)
————————————————————
[ 5] local 192.168.29.1 port 5001 connected with 192.168.29.157 port 49617
[ 5] 0.0-10.0 sec 4.77 MBytes 4.00 Mbits/sec 0.066 ms 0/ 3403 (0%)
Il peut être utile de générer un flux réseau plus long pour tester par exemple une liaison Internet pendant les heures d’utilisation. Nous allons donc utiliser l’option -t pour fixer la durée du test précédent à 10 heures (10*3600=36000 secondes).
Sur la machine S: # iperf -s -u
Sur la machine C: # iperf -c IPS -u -b 4m -t 36000
Résultat (à lire sur la machine S):
————————————————————
Server listening on UDP port 5001
Receiving 1470 byte datagrams
UDP buffer size: 41.1 KByte (default)
————————————————————
[ 5] local 192.168.29.1 port 5001 connected with 192.168.29.157 port 49617
[ 5] 0.0-36000.0 sec 4.77 MBytes 4.00 Mbits/sec 0.066 ms 0/ 999403 (0%)
Il est également possible d’ajouter l’option -i 3600 pour avoir un rapport intermédiaire toutes les heures (1*3600=3600 secondes).
Sur la machine S: # iperf -s -u
Sur la machine C: # iperf -c IPS -u -b 4m -t 3600
Résultat (à lire sur la machine S):
————————————————————
Server listening on UDP port 5001
Receiving 1470 byte datagrams
UDP buffer size: 41.1 KByte (default)
————————————————————
[ 5] local 192.168.29.1 port 5001 connected with 192.168.29.157 port 49617
[ 5] 0.0-3600.0 sec 4.77 MBytes 4.00 Mbits/sec 0.066 ms 0/ – (0%)
[ 5] 3600.0-7200.0 sec 4.77 MBytes 4.00 Mbits/sec 0.066 ms 0/ – (0%)…
[ 5] 0.0-36000.0 sec 4.77 MBytes 4.00 Mbits/sec 0.066 ms 0/ 999403 (0%)
Il est parfois utile de générer plusieurs flux UDP simultanément pour simuler une application. IPerf permet cela grâce à l’option -P et en donnant le nombre de flux à générer. L’exemple suivant génère 4 flux TCP entre S et C (simulation d’un serveur Web par exemple).
Sur la machine S: # iperf -s
Sur la machine C: # iperf -c IPS -P 4
Résultat (à lire sur la machine S):
————————————————————
Server listening on TCP port 5001
TCP window size: 56.0 KByte (default)
————————————————————
[ 6] local 192.168.29.1 port 5001 connected with 192.168.29.157 port 64978
[ 7] local 192.168.29.1 port 5001 connected with 192.168.29.157 port 64979
[ 8] local 192.168.29.1 port 5001 connected with 192.168.29.157 port 64980
[ 9] local 192.168.29.1 port 5001 connected with 192.168.29.157 port 64981
[ 7] 0.0-10.0 sec 28.0 MBytes 23.5 Mbits/sec
[ 8] 0.0-10.0 sec 28.0 MBytes 23.4 Mbits/sec
[ 9] 0.0-10.0 sec 28.1 MBytes 23.5 Mbits/sec
[ 6] 0.0-10.0 sec 28.1 MBytes 23.5 Mbits/sec
[SUM] 0.0-10.0 sec 112 MBytes 93.8 Mbits/sec
Le protocole TCP, bien que capable pour s’adapter aux réseaux large bande, a été conçu lorsque les débits étaient beaucoup moins important. Les valeurs par défaut des fenêtres TCP (taille des paquets envoyé dans des trames TCP) ne sont pas forcement adapté aux réseaux actuels. IPerf permet de jouer avec la taille de ces fenêtres avec l’option -w. L’exemple suivant génère un flux TCP avec une taille de fenêtre de 130 kilo octets.
Sur la machine S: # iperf -s
Sur la machine C: # iperf -c IPS -w 128k
Résultat (à lire sur la machine S):
————————————————————
Client connecting to 192.168.29.1, TCP port 5001
TCP window size: 128 KByte (WARNING: requested 130 KByte)
————————————————————
[ 3] local 192.168.29.157 port 65066 connected with 192.168.29.1 port 5001
[ 3] 0.0-10.0 sec 112 MBytes 93.5 Mbits/sec
Le MTU est la taille maximale du paquet pouvant être transmis sur la couche réseau sans être segmenté. La découverte de cette valeur peut être utile à l’optimisation de votre réseau et des applications qui tourne dessus. IPerf permet d’obtenir cette valeur grâce à l’option -m (à lancer sur le serveur).
Sur la machine S: # iperf -s -m
Sur la machine C: # iperf -c IPS
Résultat (à lire sur la machine S):
————————————————————
Client connecting to 192.168.29.1, TCP port 5001
TCP window size: 56.0 KByte (default)
————————————————————
[ 3] local 192.168.29.157 port 65066 connected with 192.168.29.1 port 5001
[ 3] 0.0-10.0 sec 112 MBytes 93.5 Mbits/sec[ 3] MSS size 1448 bytes (MTU 1500 bytes, ethernet)
Les paquets de type voix sur IP on les caractéristiques suivantes: protocole UDp et taille des paquets petites (bien inférieure au MTU). Le meilleur moyen de tester un flux de type VoIP avec IPerf est d’utiliser les options -l (taille du datagram) et -w (taille maximale du buffer recevant les datagras) en fixant une valeur de datagram inférieure à celle du buffer.
Sur la machine S: # iperf -s -u -l 32 -w 128k -i 1
Sur la machine C: # iperf -c IPS -u -b 1m -l 32 -w 128k
Résultat (à lire sur la machine S):
————————————————————
Server listening on UDP port 5001
Receiving 32 byte datagrams
UDP buffer size: 128 KByte
————————————————————
[ 3] local 192.168.29.157 port 5001 connected with 192.168.29.125 port 32778
[ 3] 0.0- 1.0 sec 96.0 KBytes 786 Kbits/sec 0.003 ms 0/ 3 (0%)
[ 3] 1.0- 2.0 sec 128 KBytes 1.05 Mbits/sec 0.008 ms 0/ 4 (0%)
[ 3] 2.0- 3.0 sec 128 KBytes 1.05 Mbits/sec 0.017 ms 0/ 4 (0%)
[ 3] 3.0- 4.0 sec 128 KBytes 1.05 Mbits/sec 0.021 ms 0/ 4 (0%)
[ 3] 4.0- 5.0 sec 128 KBytes 1.05 Mbits/sec 0.023 ms 0/ 4 (0%)
[ 3] 5.0- 6.0 sec 96.0 KBytes 786 Kbits/sec 0.022 ms 0/ 3 (0%)
[ 3] 6.0- 7.0 sec 128 KBytes 1.05 Mbits/sec 0.152 ms 0/ 4 (0%)
[ 3] 7.0- 8.0 sec 128 KBytes 1.05 Mbits/sec 0.142 ms 0/ 4 (0%)
[ 3] 8.0- 9.0 sec 128 KBytes 1.05 Mbits/sec 0.115 ms 0/ 4 (0%)
[ 3] 9.0-10.0 sec 128 KBytes 1.05 Mbits/sec 0.098 ms 0/ 4 (0%)
[ 3] 0.0-10.5 sec 1.25 MBytes 1.00 Mbits/sec 0.116 ms 0/ 40 (0%)
Remarque: bien que Iperf soit disponible sur de nombreuses plate-forme (Linux, BSD, Mac, Windows), l’option -l ne fonctionne pas toujours quand vous utiliser des OS différents entre le client et le serveur.
Par défaut, Iperf utilise le numéro de port 5001 (TCP et/ou UDP). Selon votre configuration (notamment au niveau des ACL des routeurs/firewalls), il peut être utile d’utiliser un autre port, pour cela, il faut passer par l’option -p. L’exemple suivant permet de générer un flux réseau TCP entre S et C sur le port 80 (port Web standard).
Sur la machine S: # iperf -s -p 80
Sur la machine C: # iperf -c IPS -p 80
Résultat (à lire sur la machine S):
————————————————————
Server listening on TCP port 80
TCP window size: 56.0 KByte (default)
————————————————————
[ 6] local 192.168.29.1 port 5001 connected with 192.168.29.157 port 54334
[ 6] 0.0-10.0 sec 112 MBytes 93.7 Mbits/sec
Voici donc quelques exemple d’utilisation d’Iperf, si vous en avez d’autres, les commentaires sont ouverts !
De retour de congés (encore avec les moonboots aux pieds, ceux avec la fourrure…) pour vous souhaitez à une très bonne année 2008 à vous et à vos proches. Une pensée particulière aux lecteurs qui me suivent régulièrement ainsi qu’aux blogueurs francophones !
Avant de partir en week-end vacances, quelques liens que j’avais mis sous dans mon BlogMarks et qui pourront peut servir à d’autres blogueurs.
Icônes RSS
FeedIcons: une bonne adresse si vous chercher des logos RSS au format PSD, GIF, JPG, PNG…
Des images pour illustrer vos billets
Flickr (CC): La zone Creative Common de Flickr avec des images libres de droit (CC By: Vous autorisez la copie, la distribution, l’affichage et la communication de votre œuvre protégée. Vous autorisez également sa modification, à condition que votre nom soit cité.).
Des fontes gratuites
Smashing Magazine (Free fonts): Tout les mois, le site Smashing Magazine fait une compilation des meilleures fontes pour les créations numériques.
Des idées pour changer de thème
Open-Source templates: Comme son nom l’indique, c’est un site communautaire open-source ou des internautes mettent à disposition des feuilles CSS que l’on peut modifier et adapter pour son blog (à garder sous le coude en complément de l’indispensable WordPress Theme Viewer et de l’original Best Minimalist WordPress themes).
Voili à bientôt et bon Noël à tous !
On arrive à la fin de l’année 2007, voici donc un rapide bilan (comparé à celui de Blomig ;)) du Blog de Nicolargo.
Nombre de visites: il est en évolution constante depuis le début de l’année avec une léger tassement depuis 3 mois (j’arrive sûrement à un palier…).
Ces visites viennent pour une grande majorité de Saint Google. La répartition est la suivante:
Nombre d’abonnés: là aussi une évolution constante sur l’année.
ll faut ajouter à ces chiffres une quinzaines d’abonnées par mail que j’ai mis en place en octobre 2007.
Si vous voulez vous abonnez, c’est par ici !
Nombre de commentaires: comme tout blogueur, c’est un grand motif de satisfaction !
Perspective pour 2008: continuer à écrire des billets sur des sujets qui m’intéresse. Je sais, c’est vague 😉 mais je ne veux pas me cantonner sur un sujet précis ! Au titre des événements marquant pour la prochaine année, je pense mettre en place un nouveau thème, sûrement vers le milieu de l’année.
Bonne fêtes de fin année à tous !