Catégories
Image Open-source Systeme Web

Mon top 3 des sites pour fonds d’écran

Il y a bien une chose avec laquelle je ne rigole: la qualité de mes fonds d’écran…Vu le temps que l’on passe (trop ?) devant nos machines, il serait dommage d’avoir des images moches et/ou rébarbatives. J’opte donc pour une rotation automatique toutes les 12 heures (avec le logiciel Wallpaper-tray sous Ubuntu et en suivant cette méthode pour mon MBP sous Mac OS X)

Voici donc les 3 sites sur lesquels je récupère mes fameux « wallpapers » (sous licence publique pour une utilisation personnelle).

Catégories
Web

Mes « marques ta-pages » de la semaine

Marques-pages

Catégories
Open-source Reseau

Siproxd rapproche SIP et NAT

SIP est le protocole de signalisation pour effectuer des communications de type voix sur IP (VoIP). Lorsque la communication est établie, il passe la main au protocole RTP qui permet le transport de la voix sur le réseau. Dans une architecture réseau incluant des fonctions de translation d’adresse (NAT), les choses se compliquent (voir cet article en anglais). En effet, si plusieurs clients SIP se trouve derrière un routeur NAT, ce dernier ne va pas savoir établir les sessions entrantes (comment savoir vers quel client SIP faut il envoyer les flux).Vous pouvez lire ce billet qui détaille cette problématique.

On se retrouve devant plusieurs solutions techniques:

  • utilisation d’un tunnel IP entre le routeur NAT et le serveur SIP
  • utilisation de redirection statique (par client) au niveau du routeur NAT en utilisant des numéros de ports SIP et RTP différents
  • utilisation d’un proxy SIP au niveau du routeur NAT

C’est cette troisième solution que nous allons mettre en place dans ce billet en utilisant le proxy SIP libre siproxd sur votre routeur NAT GNU/Linux.

Installation de Sipproxd

Actuellement disponible en version 0.7.2, vous pouvez soit compiler les sources, soit installer depuis les dépôts de votre distribution GNU/Linux. Par exemple sous Ubuntu:

[shell]

sudo aptitude install siproxd

[/shell]

Il faut ensuite modifier le fichier /etc/default/siproxd et remplacer le 0 par 1.

Configuration de Sipproxd

Le fichier de configuration unique /etc/siproxd.conf est très bien commenté. Dans un cas standard ou le routeur NAT GNU/Linux a deux interfaces (eth0 pour l’interface coté LAN et eth1 pour l’interface NATé), il suffit juste de modifier la configuration en changeant les deux lignes suivantes:

[shell]

if_inbound = eth0

if_outbound = eth1

[/shell]

Lancement de Sipproxd

Sous Unbuntu,c’est assez simple:

[shell]

/etc/init.d/sipproxd start

[/shell]

Configuration des clients SIP

Il ne reste plus qu’a configurer vos clients SIP dans la section « Proxy SIP » et de mettre l’adresse IP de votre routeur NAT (coté LAN donc l’adresse de eth0 dans notre cas).

Catégories
Blog Web

Je veux désactiver Buzz

Je dois avouer que le dernier service Google (Buzz pour ne pas le citer) m’a légèrement échauffé les oreilles. De retour de congés, le lien Buzz est apparu dans ma messagerie personnelle Gmail. De plus des mails (tagués Buzz) étaient envoyés automatiquement, un comble !

Pourquoi Google n’a pas fait comme d’habitude en proposant cette nouvelle fonction dans les Labs ? L’aspect intrusif de Buzz dans ma messagerie est pour moi insupportable. Je ne suis manifestement pas le seul et devant le tollé général, Google a fait machine arrière et devrait proposer dans les prochains jours (d’abord au US puis ensuite en France et dans le reste du monde) une option pour désactiver Buzz.

Mon système de micro-blogging restera Twitter et Identica, je continuerai cependant à utiliser Gmail pour ma messagerie personnelle, n’ayant rien trouvé de mieux (souplesse, rapidité, stabilité…)

Et vous , quel est sont vos réactions vis à vis de la mise en place de Buzz ?

Catégories
Open-source Reseau Web

Cracker un réseau Wifi sous GNU/Linux

Article supprimé le 31 janvier 2015 à la demande de la gendarmerie nationale.

Catégories
Gstreamer Open-source Reseau Video

Streaming vidéo SD avec Gstreamer

Nous allons dans ce billet essayer d’optimiser le streaming d’un flux SD sur un réseau local (LAN de 100 Mbps) en utilisant le framework GStreamer.

Environnement des tests

Deux PC Ubuntu connectés sur un même switch (100 Mbps full-duplex).

  • PC serveur: Intel(R) Core(TM)2 Duo CPU P8400 @ 2.26GHz / 2 Go RAM
  • PC client: Intel(R) Core(TM)2 Duo CPU E6750 @ 2.66GHz / 1 Go RAM

GStreamer version 0.10.25.

Vidéo source: Big Buck Bunny 480p

Tests avec le codec X.264

Ligne de commande sur la machine générant le streaming (serveur):

serveur> gst-launch -v \ filesrc location= »../Vidéos/big_buck_bunny_480p_stereo.ogg » \ ! queue ! decodebin \ ! queue ! videoscale method=1 ! video/x-raw-yuv,width=854,height=480 \ ! queue ! videorate ! video/x-raw-yuv,framerate=\(fraction\)24/1 \ ! queue ! x264enc byte-stream=true bitrate=2000 bframes=4 ref=4 me=hex subme=4 weightb=true threads=0 \ ! queue ! rtph264pay \ ! queue ! udpsink port=5000 host=192.168.29.150 sync=false async=false

Ligne de commande sur la machine recevant le streaming (client):

client> gst-launch -v udpsrc caps= »application/x-rtp, media=\(string\)video, clock-rate=\(int\)90000, encoding-name=\(string\)H264, payload=\(int\)96″ port=5000 \
! queue ! rtph264depay \
! queue ! ffdec_h264 ! xvimagesink

Résultat:
Visuel: vidéo saccadé (environ 2 img/sec)
Bande passante mesurée: entre 2 et 3 Mbps
Resource serveur: %CPU=135 / %MEM=5
Resource client: %CPU=10 / %MEM=2

On ajoute un buffer juste avant le depay et le décodage (au niveau du client):

client> gst-launch -v udpsrc caps= »application/x-rtp, media=\(string\)video, clock-rate=\(int\)90000, encoding-name=\(string\)H264, payload=\(int\)96″ port=5000 \
! queue ! gstrtpjitterbuffer latency=3000 \
! queue ! rtph264depay \
! queue ! ffdec_h264 ! xvimagesink

Résultat:
Visuel: vidéo beaucoup plus fluide mais variation de la gigue (accéleration de la video par moment). On a par contre un décalage de 3 secondes, donc inutilisable pour des flux lives.
Bande passante mesurée: entre 2 et 3 Mbps
Resource serveur: %CPU=140 / %MEM=6
Resource client: %CPU=14 / %MEM=2

On modifie ensuite les paramètres d’encodage X.264 (au niveau du serveur):

serveur> gst-launch -v –gst-debug-level=2 \
filesrc location= »../Vidéos/big_buck_bunny_480p_stereo.ogg » \
! queue ! decodebin \
! queue ! videoscale method=1 ! video/x-raw-yuv,width=720,height=480 \
! queue ! videorate ! video/x-raw-yuv,framerate=\(fraction\)24/1 \
! queue ! x264enc vbv-buf-capacity=3000 byte-stream=true bitrate=900 subme=4 ref=2 bframes=1 b-pyramid=true weightb=true \
! queue ! rtph264pay \
! queue ! udpsink port=5000 host=192.168.29.150 sync=false async=false

Résultat:
Visuel: Presque plus de sacade ni de variation de gigue. On a par contre un décalage de 3 secondes, donc inutilisable pour des flux lives.
Bande passante mesurée: entre 2 et 3 Mbps
Resource serveur: %CPU=120 / %MEM=4
Resource client: %CPU=10 / %MEM=2

Catégories
Open-source Reseau Web

Simuler des connexions HTTP/FTP simultanées

Curl-Loader est un logiciel libre, écrit en langage C (le meilleur langage pour développer des applications réseaux), permettant de simuler sur votre serveur WEB ou FTP un grand nombre de connexions simultanées. Nous allons dans ce billet voir comment installer, configurer et tester ce logiciel dans un environnement GNU/Linux (Ubuntu 9.10 dans mon cas).

Installation de Curl-Loader

Comme il n’est pas encore (des volontaires ?) disponible dans les dêpots officiels, il va falloir compiler Curl-Loader à la main. Avant d’aller plus loin, on installe des pré-requis système:

[shell]

sudo aptitude install build-essential openssl libssl-dev

[/shell]

On commence par récupérer la dernière version disponible (0.51 au moment de l’écriture de ce billet):

[shell]

wget http://downloads.sourceforge.net/project/curl-loader/curl-loader/curl-loader-0.51/curl-loader-0.51.tar.gz?use_mirror=sunet

[/shell]

On décompresse et compile le tout:

[shell]

tar zxvf curl-loader-0.51.tar.gz

cd curl-loader-0.51

make optimize=1

[/shell]

On finalise l’installation avec:

[shell]

sudo make install

[/shell]

Configuration de Curl-Loader

Tout est centralisé dans un fichier de configuration. Quelques exemples de fichiers de conf sont fournis avec les sources dans le répertoire ./conf-exemples/.

Le plus simple est de partir du fichier ./conf-exemples/bulk.conf:

[shell]

cp ./conf-exemples/bulk.conf ~/curlloader.conf

cd ~

[/shell]

On édite le fichier pour l’adapter à son besoin (documentation exhaustive disponible sur le site officiel) :

[shell]

vi curlloader.conf

[/shell]

[shell]

########### GENERAL SECTION ################################

BATCH_NAME= bulk

CLIENTS_NUM_MAX=200

CLIENTS_RAMPUP_INC=5

INTERFACE=eth0

NETMASK=24

IP_ADDR_MIN= 192.168.29.148

IP_ADDR_MAX= 192.168.29.148

IP_SHARED_NUM=1

CYCLES_NUM= 100

URLS_NUM= 1

########### URL SECTION ####################################

URL=http://www.monserveurweb.com/

URL_SHORT_NAME="MonServeurWeb"

REQUEST_TYPE=GET

TIMER_URL_COMPLETION = 5000

TIMER_AFTER_URL_SLEEP = 500

[/shell]

Utilisation de Curl-Loader

Attention à ne lancer Curl_Loader que vers un serveur qui vous appartient.
Dans le cas contraire, cela peut être considéré comme une attaque par dénie de service !

Il ne reste plus qu’a lancer Curl-Loader avec ce fichier de configuration:

[shell]

sudo curl-loader -f ~/curlloader.conf

[/shell]

Que va faire l’exécution de Curl-Loader avec notre fichier de configuration ?

On commence un cycle en envoyant sur le réseau 5 (CLIENTS_RAMPUP_INC) requêtes simultanées vers le serveur Web d’URL http://www.monserveurweb.com/(URL), puis 1 seconde plus tard, 5 requêtes de plus et ainsi de suite jusqu’à 200 (CLIENTS_NUM_MAX) requêtes simultanées. A la fin de ce cycle, on continu jusqu’à attendre le 100em cycle (CYCLES_NUM).

A la fin du test on a les informations suivantes qui s’affichent:

[shell]

Test total duration was 54 seconds and CAPS average 231:

H/F Req:24665,1xx:0,2xx:12332,3xx:12333,4xx:0,5xx:0,Err:0,T-Err:1,D:1ms,D-2xx:3ms,Ti:1343807B/s,To:56181B/s

H/F/S Req:0,1xx:0,2xx:0,3xx:0,4xx:0,5xx:0,Err:0,T-Err:0,D:0ms,D-2xx:0ms,Ti:0B/s,To:0B/s

Exited. For details look in the files:

– bulk.log for errors and traces;

– bulk.txt for loading statistics;

– bulk.ctx for virtual client based statistics.

– bulk.ops for operational statistics.

[/shell]

Pour la le lecture des rapports, voici un petit mémento:

  • CAPS=call attempts per seconds;
  • run-time in seconds;
  • requests num;
  • 1xx success num;
  • 2xx success num;
  • 3xx redirects num;
  • client 4xx errors num;
  • server 5xx errors num;
  • other errors num, like resolving, tcp-connect, server closing or empty responses number (Err);
  • url completion time expiration errors (T-Err);
  • average application server Delay (msec), estimated as the time between HTTP request and HTTP response without taking into the account network latency (RTT) (D);
  • average application server Delay for 2xx (success) HTTP-responses, as above, but only for 2xx responses. The motivation for that is that 3xx redirections and 5xx server errors/rejects may not necessarily provide a true indication of a testing server working functionality (D-2xx);
  • throughput in, batch average, Bytes/sec (T-In);
  • throughput out, batch average, Bytes/sec (T-Out);
Catégories
Open-source Web

Firefox 3.7 sous Ubuntu (dépôts)

Après Firefox 3.6.5, c’est la version 3.7 qui prendra le relai des navigateurs Web de Mozilla.  Selon PC INpact, la principale nouveauté de cette version est l’intégration de la technologie d’Electrolysis:

 » Electrolysis a pour objectif principal de permettre à Firefox l’utilisation de tous les cœurs disponibles dans la machine. La grande majorité des machines vendues aujourd’hui dispose d’au moins deux cœurs d’exécution, sinon quatre. Le navigateur ne peut en utiliser qu’un seul. Ainsi, lors de l’affichage de certaines pages, la charge peut grimper à 100 % et déclencher la pleine vitesse du ventilateur, en particulier dans un ordinateur portable. »

Il est déjà possible de tester cette nouvelle version (qui est actuellement en développement) sous son système d’exploitation GNU/Linux Ubuntu en suivant la procédure suivante.

On commence par ajouter le dépôts PPA officiel (les « daily builds » de Mozilla):

[shell]

sudo add-apt-repository ppa:ubuntu-mozilla-daily

sudo aptitude update

[/shell]

Ensuite on installe Firefox 3.7 (qui peut cohabiter avec des versions antérieures) avec la commande:

[shell]

sudo aptitude install firefox-3.7

[/shell]

Il ne reste plus qu’a lancer le navigateur en allant dans le menu « Applications » (Internet/Minefield 3.7 Web Browser) ou en ouvrant un terminal et en lancant la commande:

[shell]

firefox-3.7

[/shell]

Et voilà le travail !

Catégories
Open-source Reseau

MRTG, un tutoriel simple et rapide

Si vous suivez ce blog, vous devez sûrement connaitre Cacti, l’outil permettant de générer des graphes visualisation via une interface HTML/PHP. La solution, bien que simple à mettre en oeuvre nécessite quelques manipulations. Nous allons voir dans ce billet une autre solution beaucoup moins lourde et simple à mettre en oeuvre: MRTG. Nous nous limiterons à la génération de graphes représentant la bande passante des interfaces réseau mais l’on peut bien sûr « grapher » toutes les mesures récupérables via SNMP. La machine qui hébergera notre MRTG est sous Unbuntu 9.10 (mais la procédure est globalement la mêmes sur les autres distribution GNU/Linux).

Catégories
Web

Mes « marques ta-pages » de la semaine

Marques-pages