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Blog Web

Quelques news du blog

Je profite du retour du printemps pour vous donner, chers lecteurs, quelques nouvelles du Blog de Nicolargo.

On commence par le trafic en constante augmentation depuis le hack et l’indisponibilité du site en août 2010, avec un pic à plus de 240.000 pages vues sur le dernier mois courant. Les pages traitant de Nagios et de la supervision réseau arrivent toujours en tête des classements, mais je note un intérêt grandissant pour les sujets techniques sur l’hébergement et les logiciels d’expertises réseau (pour lesquels je viens de créer une page dédiée).

On peut également noter le succès des billets sur la sécurisation des serveurs de blog WordPress et le eBook gratuit sur Nagios (plus de 2300 téléchargements).

Comme vous avez pu le voir, le nouveau thème (design) est maintenant finalisé depuis quelques mois et m’apporte entière satisfaction. J’en ai profité pour revoir la monétisation du site. Il y a 4 blocs d’annonces au format 125×125 disponible dans la barre de menu de droite. Je remercie au passage les annonceurs avec qui je travaille. Si vous avez un peu de temps, merci de visiter leurs site, j’essaye de travailler avec des partenaires dont je partage la philosophie des logiciels libres. En plus des ces blocs partenaires, j’ai, sur les billets de plus d’une semaine, une bannière vidéo qui s’affiche en haut des billets et une annonce Google Adsense en bas.

Le chiffre dont je suis le plus fier ? C’est le ratio commentaires / article qui est de 7 !

Au delà des ces chiffres, je vous remercie pour les échanges que l’on peut avoir sur Twitter, dans les commentaires ou par mail !

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Gstreamer Open-source Planet-libre Video

Transcoder facilement ses vidéos avec Arista

Arista est un projet développé en parallèle de Transmageddon qui a pour objectif d’avoir une solution logicielle libre et simple pour transformer une vidéo en un beau fichier compressé et compatible avec vos périphériques de lectures. Le logiciel se base sur le merveilleux framework GStreamer.

Nous allons donc voir dans ce billet comment installer puis utiliser ce logiciel sur une distribution Ubuntu 10.10 (vous pouvez bien-sur utiliser ce logiciel sur d’autre distribution, seule la procédure d’installation sera à changer).

Installation de Arista

C’est très simple sous Ubuntu:

sudo aptitude install arista nautilus-arista

Lancement de Arista

On passe par le menu principal > Son et vidéo > Arista Transcoder:

Transcodage pas à pas

1) Sélection de la source

On commence par sélectionner la source vidéo parmi:

  • un disque DVD (à insérer dans votre lecteur)
  • un fichier vidéo quelconque
  • une caméra / une webcam

2) Sélection du périphérique cible

On doit choisir le périphérique sur lequel on voudra lire la vidéo transcodé. On a le choix entre (cette liste évolue automatiquement selon les changement de version et des mises à jour spécifiques):

  • Android
  • Apple iPad
  • Apple iPod/iPhone
  • Ordinateur (Linux)
  • Lecteur DVD
  • Nokia N
  • Sony PSP
  • Sony PS3
  • Web (navigateur)

3) Sélection du format de pré réglage

Ce dernier choix dépend du périphérique cible. Par exemple pour une lecture sur un ordinateur, on a le choix entre H.264, WebM (VP8) ou Theora.

4) Sélection du fichier de la vidéo transcodé

On sélectionne enfin le nom du fichier de destination en cliquant sur le bouton « + Ajouter à la file« :

Puis on entre le nom du fichier.

Attention, le transcodage commence tout de suite, avec un aperçu en « live ».

Et voilà le résultat:

  • Fichier source (RAW): football_cif.y4m de 38 Mo
  • Fichier transcodé (VP8): football_cif.webm de 1.5 Mo

Conclusion

Arista est un transcoder simple à utiliser dans la pure tradition des logiciels Unix, une tache, un logiciel. Le fait que la liste des périphériques se mette automatiquement à jour est vraiment un plus non négligeable. Et hop un logiciel de plus dans mon script de post installation d’Ubuntu !

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Nagios Open-source Planet-libre Reseau

Script d’installation automatique de Shinken/Thruk

Dans le petit monde des systèmes de supervision système et réseau, un nouveau venu pointe le bout de sa… lame: Shinken.

Développé de main de maître par Jean Gabes (un des spécialiste Français de Nagios), il en reprend la structure au niveau des fichiers de configuration tout en apportant de plus grandes des performances, le tout distribué sous une licence libre AGPL v3. Basée sur le langage Python, il offre une liste pour le moins  impressionnante de fonctions que vous pouvez consultez sur cette page.

Nous allons dans ce premier billet sur le sujet, détailler un script d’installation automatique du couple Shinken + Thruk (interface Web) sur une distribution GNU/Linux Debian (le script doit également fonctionner sur une distribution Ubuntu moyennant, peut être, quelques modifications, notamment l’édition des lignes arch_version et perl_version).

La version actuelle du script, va installer Shinken version 1.0 (à noter que cette version inclue une UI maison) et Thruk 1.1.7. Pour information, ces deux versions peuvent être utilisées dans un environnement de production.

Récupération du script d’auto installation de Shinken/Thruk

Il suffit d’ouvrir un terminal puis de saisir les commandes suivantes:

cd ~

rm -f shinkenautoinstall-debian.sh

wget –no-check-certificate https://raw.github.com/nicolargo/shinkenautoinstall/master/shinkenautoinstall-debian.sh

chmod a+x shinkenautoinstall-debian.sh

Vous pouvez également récupérer le script / remonter des demandes de nouvelles fonctions ou des bugs sur GitHub.

Lancement du script d’auto installation de Shinken/Thruk

Là encore rien de compliqué:

sudo ./shinkenautoinstall-debian.sh

Le script devrait se dérouler tout seul. Il vous demandera juste à un moment donnée de saisir le mot de passe que vous voulez affecter à l’utilisateur Unix shinken.

A la fin de l’installation, le serveur Shinken et l’interface Web Thruk seront lancées automatiquement.

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Installation terminée

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Fichiers de configuration : /etc/shinken

Fichiers de logs : /var/lib/shinken/nagios.log

Script de lancement de Shinken : /etc/init.d/shinken

Script de lancement de Thruk : /etc/init.d/thruk

Interface d’administration : http://@IP:3000

Arrivé à ce stade, vous pouvez éditer la configuration de Shinken (contenue dans le répertoire /etc/shinken) et vous connecter à l’interface Web d’administration (http://@IP:3000 ou @IP est à remplacer par l’adresse IP de votre serveur de supervision).

Petite astuce complémentaire pour les utilisateurs voulant faire transiter les connections vers l’interface d’administration Web par un serveur Web Nginx. Il suffit d’ajouter la configuration suivante dans un fichier de conf Nginx:

server {

listen 80;

server_name nagios.mondomaine.com;

location / {

proxy_pass http://127.0.0.1:3000;

proxy_redirect off;

proxy_set_header Host $host;

proxy_set_header X-Real-IP $remote_addr;

proxy_set_header X-Forwarded-For $proxy_add_x_forwarded_for;

}

}

Toute les requêtes entrantes sur le port TCP 80 et le nom de machine  nagios.mondomaine.com (à adapter à votre serveur) seront redirigées vers Nagios (http://127.0.0.1:3000). Cela permet d’éviter d’avoir à ouvrir un port supplémentaire (le 3000) sur votre serveur…

Que fait exactement le script d’auto installation de Shinken/Thruk ?

Pas grand chose, mis à part:

  • installation des pré-requis système
  • création de l’utilisateur shinken et du groupe associé
  • téléchargement des sources de Shinken et de Thruk
  • mise en place des scripts de démarrage de Shinken et Thruk (init.d)
  • vérification de la configuration de Shinken (l’équivalent de l’option -v de Nagios)
  • premier lancement de Shinken
  • premier lancement de Thruk

Si vous testez ce script sur Debian ou sur une autre distribution, je suis preneur de vos retours.

Sources:

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Open-source Planet-libre Systeme

Mon desktop 201104

Avec quelques jours de retard, voici le desktop qui va me suivre pendant le beau mois d’avril 2011.

Voici ce que cela donne sans fenêtre:

et avec:

Les principales caractéristiques

Installer de la combo magique (Equinox Evolution Dawn  + Faenza + Nautilus Elementary)

Petit changement avec l’utilisation du thème GTK Equinox Evolution Dawn en lieu et place de Equinox Glass. De petites amélioration bien sympa notamment au niveau des ascenseurs des terminaux qui sont beaucoup plus fins.

Les icônes Faenza sont lisibles et facile à reconnaître et Elementary est pour moi devenu indispensable aux utilisateur de Nautilus:

sudo aptitude install gtk2-engines-equinox equinox-theme equinox-ubuntu-theme faenza-icon-theme

nautilus -q

Pour activer Equinox, il faut aller dans le menu: “Système > Préférences > Apparences > Thème > Equinox Evolution Dawn“.

Installation de AWN

Si vous suivez cette rubrique, vous avez du vous rendre compte que je suis passé de Docky à AWN. Toutes les explications sont dans ce billet.

Dans mon dock il y a…:

  • Cairo menu
  • Lien vers mes répertoires
  • TodoList
  • Switch écran
  • Barre de lancement rapide (Terminator, Chromium,…)
  • Supervision du CPU
  • Supervision de la température de la carte mère
  • Supervision de la bande passante de mon interface Ethernet
  • La corbeille

Et chromium ?

Pour mettre également Chromium en concordance avec le reste du thème, j’utilise ce thème (point CRX à ouvrir directement dans Chromium).

A vous de nous montrer vos écrans (par exemple en utilisant http://twitpic.com/) !

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Nagios Open-source Planet-libre Reseau Systeme

Et un eBook gratuit sur Nagios, un…

On m’a plusieurs fois proposé d’écrire un livre sur Nagios et la supervision système et réseau. J’ai, pour l’instant, refusé ces offres par manque de temps et de motivation. Le Blog de Nicolargo m’occupe déjà  beaucoup et je trouve cette formule plus « interactive » que le support papier.

Cependant, je sais par expérience qu’il est parfois utile d’avoir une documentation papier ou sous la forme d’un simple fichier sur une clés USB. C’est donc pour cette raison que j’ai compilé l’ensemble des billets de ce blog abordant Nagios dans un eBook au format PDF sous licence Creative Common BY NC.

Pour télécharger gratuitement cet eBook, il suffit de cliquer sur l’image suivante:

Je vous rappelle, que l’ensemble des billets sur Nagios est regroupé également sur cette page (vous trouverez encore plus d’informations que dans l’eBook). Si vous voulez être tenu au courant des nouveaux articles, je vous conseille de vous abonner au flux RSS du blog, à mon compte Twitter ou à partir de Facebook.

Bonne lecture !

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Open-source Reseau

IperfiT, un petit script pour les fans de Iperf

J’utilise actuellement Iperf (voir la liste des billets sur le sujet ici) dans le cadre de tests de performances de réseaux divers et variés. Bien que très simple à utiliser pour une personne avertie, Iperf n’est pas conçu pour automatiser des benchs en faisant varier les cibles et les paramètres.

J’ai donc développé, sous licence LGPL, un script Perl nommé IperfiT qui fait « grosso modo » les choses suivantes lors d’un test entre les machines A (sur lequel le script sera lancé) et B (qui se trouve de l’autre coté du réseau à tester et qui accepte les connexions SSH venant de A):

  • Test de la connectivité avec la machine B (A ping B)
  • Connexion automatiquement en SSH vers la machine B
  • Lancement du serveur IPerf sur la machine B
  • Lancement du client sur la machine A
  • Affichage du rapport venant de l’IPerf de la machine B
  • Arrêt de l’Iperf de la machine B

Les options de la version 0.1 de IperfiT sont les suivantes:

-h: Print the command line help

-v: Print the program version

-q: Quiet mode (no display)

-s <ip>: Server IP address

-n <user>: SSH user name used to connect to the server

-u: Use UDP protocol (default is TCP)

-b: Target bitrate for UDP flow

-t <time>: Test duration, default is 30 sec

-m <mss>: Set the TCP Maximum Segment Size (MTU-40), default 1400 bytes

-w <wsize>: Set the TCP Window Size, default 128 Kbytes

-l <bsize>: Set the R/W Buffer Size, default 8000 bytes

-d <tos>: Set the TOS field (Diffserv), default is 0

Installation de IperfiT

C’est assez simple, je l’ai mis à disposition dans ce répertoire. Vous pouvez également suivre cette procédure:

cd /tmp

wget https://raw.githubusercontent.com/nicolargo/iperfit/master/iperfit.pl

chmod a+rx /tmp/iperfit.pl

cp /tmp/iperfit.pl /usr/local/bin

Utilisation de iperfiT en quelques exemples

Pour un simple test TCP de 5 minutes (300 secondes) vers la machine 192.168.0.100 (login SSH nicolargo) avec une taille MSS de 1200 octets:

iperfit.pl -c 192.168.0.100 -n nicolargo -t 300 -m 1200

Pour lancer un test entre votre machine et la machine d’adresse IP 192.168.0.100 (login SSH nicolargo) en UDP avec une taille de buffer de 170 octets sur une durée de 60 secondes et avec un débit de 64 Kbps, il suffit de saisir la ligne suivante:

iperfit.pl -c 192.168.0.100 -n nicolargo -u -l 170 -t 60 -b 64

Remarque

Si vous avez le message suivant au lancement du programme:

Can’t locate Net/IPv4Addr.pm in @INC (@INC contains: /etc/perl /usr/local/lib/perl/5.10.1 /usr/local/share/perl/5.10.1 /usr/lib/perl5 /usr/share/perl5 /usr/lib/perl/5.10 /usr/share/perl/5.10 /usr/local/lib/site_perl .) at ./iperfit.pl line 33.BEGIN failed–compilation aborted at ./iperfit.pl line 33.

C’est que vous n’avez pas la librairie Perl IPv4Addr qui est installé, sous Ubuntu/Debian pour remédier à cela il faut saisir la commande suivante:

sudo aptitude install libnetwork-ipv4addr-perl

Si vous avez des améliorations à proposer à ce script je suis à votre écoute !

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Un blog en héritage ?

L’age aidant, j’ai été emmené à réfléchir sur les questions d’héritages de mes biens au cas au je casserai ma pipe du jour au lendemain. Aucune inquiétude à avoir, je suis en bonne santé et le moral est là mais c’est un fait, tout peut arriver.

Passé les choses importantes (habitation, biens financiers, objets personnels…), tout blogueur est en droit de se poser cette question: « Que deviendra mon blog quand je  ne serais plus là ? ».

En effet, la grande majorité des blog personnels, comme le mien, ne sont gérés que par une seule personne. Celle-ci, en plus de rédiger les billets et de répondre aux commentaires, s’occupe de l’administration système (mise à jour de sécurité)  et des taches administratives (renouvellement du contrat d’hébergement et du nom de domaine).

Si ce bloguer décède, la fin du contrat chez l’hébergeur sonnera comme la fin de vie de son blog qui ne sera plus accessible.  Dur de voir tout son travail et ses données disparaître comme cela. Il existe bien des projets comme Internet Archive qui s’occupe d’archiver votre site à intervalle plus ou moins régulier. Le problème avec ce genre d’archivage est qu’il propose une image de votre site à un instant t. Il ne gère pas les options dynamiques comme les commentaires.

A titre personnel, je souhaiterai que mon blog continu à être accessible aux lecteurs et idéalement qu’il soit repris par des personnes partageant les mêmes intérêts. A ma connaissance, il n’existe pas en dehors du testament, de service permettant de transmettre les informations nécessaires à l’administration d’un site à une ou plusieurs personnes de confiance.

Si certains d’entre vous se sont posés ce genre de questions (blogueur, notaires, hébergeur), je serais curieux d’avoir leurs retours.

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Blog

Edito presto

Comme vous pouvez le voir, cher lecteur, je ne suis pas très actif sur le blog et sur mon twitter en ce moment. Je suis en pleine bourre coté boulot et cela risque de durée quelques semaines. Je prends donc du retard sur le traitements de mes mails et sur les réponses aux commentaires.

En parallèle, j’essaye quand même un peu de bosser pour vous (« ah quand même ! »). Je vous prépare un petit eBook (vous savez le truc à la mode) au format PDF qui sera un recueil de mes billets sur Nagios, l’outil de supervision des systèmes d’informations.

Je regarde aussi de prêt les solutions de qualité de service que l’on peut implémenter sur le noyau Linux. Je ferais surement un petit billet dessus.

Si vous avez d’autres idées, je suis preneur de vos commentaires !

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Le panier du marché libre #8

C’est la saison des pois chiches, alors on prend son petit panier et on va glaner les bons liens de Nicolargo:

En bonus la recette de la socca Niçoise (il ne faut pas faire le petit bras avec le poivre…)

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Open-source Planet-libre Web

Supprimer les logs Apache « internal dummy connection »

Si comme moi vous avez des tonnes d’entrées du type:

::1 - - [10/Mar/2011:10:41:50 +0000] "OPTIONS * HTTP/1.0" 200 - "-" "Apache (internal dummy connection)"

dans les fichiers de logs de votre serveur Apache, voici une procédure simple pour les supprimer.

On commence par éditer le fichier de configuration /etc/apache2/apache2.conf pour créer un filtre nommé local:

# Filters

SetEnvIf Remote_Addr « 127\.0\.0\.1 » local

SetEnvIf Remote_Addr « \:\:1 » local

Ensuite, on doit activer ce filtre le fichier de définition de votre site (sous le répertoire /etc/apache2/site-enabled). Il faut modifier la ligne suivante:

CustomLog /var/log/apache2/www-access.log combined env=!local

Puis on relance Apache:

sudo apache2ctl restart

Et hop…

Sources: