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Logiciels Mac OS X pour twitter…

Un rapide inventaire des applications pour twitter (bientôt dans le Petit Robert) depuis son Mac.

Twitterrific

La Rolls-Royce des clients Twitter pour Mac OS X, malheureusement ce logiciel n’est pas libre et est payant (environ 15$).

C’est de loin le plus complet des clients, la liste des fonctions est impressionnante et en constante amélioration.

twitterrific3.jpg

Pwytter

Un client libre, compatible Mac, Linux et Windows basée sur le langage Python. C’est mon client du moment !

pwytter-05-mac.png

TWidget

Ce client se présente sous la forme d’un Widget. Je ne l’utilise plus, je trouve embêtant de passer dans la fenêtre Widget pour voir/poster des messages.

front.jpg

Twitgit

Encore un Widget Mac avec les mêmes fonctions que TWidget.

Twitgit08.png

Si vous en connaissez d’autres je suis preneur…

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Limiter la bande passante avec Mac OS X

Attention:  Apple a choisi de migrer de IPFW vers PF à partir de OS X Lion (ce qui en soit un un bon choix…).

La syntaxe est complètement différente. Pour effectuer une limite de bande passante avec PF il faut passer par un module externe (à voir si il est installé par défaut sous OS X Lion) nommé altq.

Je conseille la lecture des billets suivants:
– De IPFW à PF (sur ce blog)
– Packet Queueing and Prioritization
– Bandwidth Limiting with pf and ALTQ

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Emulateur Windows sous Mac OS X

Je pense qu’il vous ai déjà arrivé de devoir utiliser un logiciel qui ne tournait pas sur votre « operating system ». C’est ce qui m’est arrivé ce matin lorsque que j’ai voulu administrer un boîtier Wifi depuis mon Mac. Le constructeur (le fourbe) ne fournissait qu’un pauvre logiciel sous Windows.

Je me suis donc lancé à la recherche d’un émulateur Windows pour Mac OS X. Encore une fois le monde du libre m’a apporté la solution sur un plateau: Wine !

Compilation de Wine

Il faut d’abord se rendre sur la page suivante pour récupérer les derniers sources disponibles (format tar.bz2).

Une fois les sources téléchargées sur votre disque, il faut lancer la compilation (elle nécessite l’installation préalable de Xcode et du pack X11 disponibles sur votre DVD d’installation de Mac OS X).

# ./configure
# make depend && make
# sudo make install

Exécution d’un programme Windows sous Mac OS X avec Wine

Imaginons que l’on veuille lancer le programme toto.exe (binaire Windows). Il suffit de taper la ligne de commande suivante:

# wine toto.exe

 

Et le programme devrait se lancer automatiquement ! C’est pas beau ça !

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C’est Noël chez DivX

DivX propose pour une durée indéterminée le téléchargement gratuit de DivX Pro 6.8 (normalement le prix de 20$). Ce pack logiciel comprend le codec pro 6.8, l’encodeur et le convertisseur vidéo.

Pour profiter de cette offre, il faut ce rendre ici si vous êtes sous Windows ou là si vous êtes sous Mac.

Le site vous demandera une adresse mail ou la le numéro de licence vous sera envoyé.

Source: Clubic.

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Carte d’encodage video Osprey sous Linux

J’ai dû me pencher sur le cas suivant: utilisation d’une carte Osprey 100 (carte de capture/encodage vidéo) sous Linux Ubuntu. Bonne nouvelle pour ceux que cela intéresse, la carte Osprey (construite autout chipset bt878) est maintenant reconnue en standard. Plus besoin donc de passer par une fastidieuse installation de driver.

La configuration que j’utilise est la suivante:

  • Ubuntu 7.10
  • Carte Osprey 100 (chipset bt878)
  • Camera numérique Sony

Nous allons donc dans un premier temps vérifier que la carte est bien reconnue, puis la tester avec le bien connu client VideoLAN (VLC).

Vérifier que votre carte est reconnue

Après l’installation de la carte dans un port PCI de votre machine, il faut lancer la commande dmesg et vérifier que les lignes « bttv » sont bien présentes.

# dmesg

[ 25.223280] bttv: driver version 0.9.17 loaded
[ 25.223285] bttv: using 8 buffers with 2080k (520 pages) each for capture
[ 25.223332] bttv: Bt8xx card found (0).
[ 25.223345] ACPI: PCI Interrupt 0000:07:09.0[A] -> GSI 21 (level, low) -> IRQ 17
[ 25.223363] bttv0: Bt878 (rev 2) at 0000:07:09.0, irq: 17, latency: 32, mmio: 0xf0800000
[ 25.223374] bttv0: detected: Osprey-100 [card=82], PCI subsystem ID is 0070:ff00
[ 25.223376] bttv0: using: Osprey 100/150 (878) [card=82,autodetected]
[ 25.223399] bttv0: gpio: en=00000000, out=00000000 in=00ffffff [init]
[ 25.248231] bttv0: osprey eeprom: card=82 name=Osprey 100/150 (878) serial=1516003
[ 25.248234] bttv0: using tuner=-1
[ 25.248237] bttv0: i2c: checking for TDA9887 @ 0x86… not found
[ 25.248910] bttv0: registered device video0
[ 25.248934] bttv0: registered device vbi0
[ 25.248956] bttv0: PLL: 28636363 => 35468950 .<6>tpm_inf_pnp 00:0b: Found TPM with ID IFX0102…

Puis ensuite confirmer grâce à la commande lspci:

# lspci | grep 878
07:09.0 Multimedia video controller: Brooktree Corporation Bt878 Video Capture (rev 02)
07:09.1 Multimedia controller: Brooktree Corporation Bt878 Audio Capture (rev 02)

Tester la carte

Pour tester, nous allons utiliser VLC. Si votre carte est assignée au device video0 (comme pour moi), alors il suffit de lancer VLC, cliquer sur Fichier/Ouvrir un périphérique de capture, renseigner les champs Nom du périphérique (avec /dev/video0) et Norme (avec PAL) puis cliqer sur OK. VLC devrait, si tout va bien afficher la video capturée par la carte Osprey.
Exemple équivalent en ligne de commande pour streamer depuis la caméra vers une adresse IP 192.168.0.1:

# vlc v4l:// :v4l-vdev= »/dev/video0″ :v4l-adev= »/dev/dsp » :v4l-norm=0 :v4l-frequency=-1 –sout ‘#transcode{vcodec=mp4v,vb=768,scale=1}:duplicate{dst=display,dst=std{access=udp,mux=ts,dst=192.168.29.157:1234}}’

Il ne vous reste plus qu’a suivre un des nombreux tutorial disponible sur le Web pour streamer votre video en IP sur votre réseau.

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Des graphes dans Nagios avec PNP

Cette procédure est obsolète (écrite pour la version 0.4.x de Pnp4Nagios).

=> Merci de consulter cette procédure

PNP is not PerfParse est un module permettant à Nagios de stocker dans une base RRD et d’afficher via une interface Web des données provenant de vos plugins Nagios. Actuellement en version de développement (0.4.14 au moment de l’écriture de ce billet), PNP comble un manque important dans Nagios: la génération de graphiques personnalisés intégrés à l’interface Web.

Nous allons dans ce billet installer PNP sur une configuration Nagios existante (cliquez ici pour accèder à des tutoriels d’installation de Nagios).

Update du 24/08/2009: Mise à jour de la procédure pour PNP version 0.4.14 et suppression des informations concernant la version 2.x de Nagios.

Compilation de PNP

On récupère la dernière version des sources et on décompresse (en root):

# cd /usr/src
# wget http://downloads.sourceforge.net/pnp4nagios/pnp-0.4.14.tar.gz
# tar zxvf pnp-0.4.14.tar.gz
# cd pnp-0.4.14

Puis on configure:

# ./configure
General Options:
————————-         ——————-
Nagios user/group:                nagios nagios
Install directory:                /usr/local/nagios
HTML Dir:                         /usr/local/nagios/share/pnp
Config Dir:                       /usr/local/nagios/etc/pnp
Location of rrdtool binary:       /usr/bin/rrdtool Version 1.2.15
RRDs Perl Modules:                FOUND (Version 1.2015)
RRD Files stored in:              /usr/local/nagios/share/perfdata
process_perfdata.pl Logfile:      /usr/local/nagios/var/perfdata.log
Perfdata files (NPCD) stored in:  /usr/local/nagios/var/spool/perfdata/

Il faut vérifier que le résultat de cette configuration correspond à votre système, puis ensuite seulement lancer la compilation:

# make all
# make install
# make install-config

Configuration initiale de PNP

Il existe 3 méthodes pour intégrer PNP à Nagios. Dans ce billet, nous allons aborder la seconde (appelée « bulk-mode ») qui est un bon compromis entre la complexité d’installation et les performances obtenues.

Dans cette installation « bulk-mode », les données de vos futurs graphes sont collectés dans un fichier temporaire. Ce fichier est traité de manière à intervalles réguliers par le script perl process_perfdata.pl.

La première chose à faire est d’éditer le fichier nagios.cfg et de modifier la configuration:

# sudo vi /usr/local/nagios/etc/nagios.cfg

process_performance_data=1

#
# service performance data
#service_perfdata_file=/usr/local/nagios/var/service-perfdata
service_perfdata_file_template=DATATYPE::SERVICEPERFDATA\tTIMET::$TIMET$\tHOSTNAME::$HOSTNAME$\tSERVICEDESC::$SERVICEDESC$\tSERVICEPERFDATA::$SERVICEPERFDATA$\tSERVICECHECKCOMMAND::$SERVICECHECKCOMMAND$\tHOSTSTATE::$HOSTSTATE$\tHOSTSTATETYPE::$HOSTSTATETYPE$\tSERVICESTATE::$SERVICESTATE$\tSERVICESTATETYPE::$SERVICESTATETYPE$
service_perfdata_file_mode=a
service_perfdata_file_processing_interval=15
service_perfdata_file_processing_command=process-service-perfdata-file

#
# host performance data
#

host_perfdata_file=/usr/local/nagios/var/hostperfdata
host_perfdata_file_template=DATATYPE::HOSTPERFDATA\tTIMET::$TIMET$\tHOSTNAME::$HOSTNAME$\tHOSTPERFDATA::$HOSTPERFDATA$\tHOSTCHECKCOMMAND::$HOSTCHECKCOMMAND$\tHOSTSTATE::$HOSTSTATE$\tHOSTSTATETYPE::$HOSTSTATETYPE$
host_perfdata_file_mode=a
host_perfdata_file_processing_interval=15
host_perfdata_file_processing_command=process-host-perfdata-file

Reste à éditer le fichier commands.cfg (/usr/local/nagios/etc/objects/commands.cfg sous Nagios 3):

# sudo vi commands.cfg
define command{
command_name    process-service-perfdata
command_line    $USER1$/process_perfdata.pl –bulk=/usr/local/nagios/var/service-perfdata
}

define command{
command_name process-host-perfdata-file
command_line $USER1$/process_perfdata.pl –bulk=/usr/local/nagios/var/host-perfdata
}

Reste à vérifier votre configuration et à relancer Nagios:

# /usr/local/nagios/bin/nagios -v /usr/local/nagios/etc/nagios.cfg
# /etc/init.d/nagios restart

Remarque, si vous rencontrez l’erreur suivant:

Error: Unable to write to temp_path (‘/usr/local/nagios/var/spool/checkresults’) – Permission denied
Error: Unable to write to check_result_path (‘/usr/local/nagios/var/spool/checkresults’) – Permission denied

Il faut modifier les droits sur le répertoire en faisant:

# sudo chmod -R 777 /usr/local/nagios/var/spool/checkresults

Puis pour Nagios 3:

# sudo chown -R nagios:nagios /usr/local/nagios/var/hostperfdata

Comment accéder à PNP

Maintenant que l’installation est terminé, vous pouvez accéder à l’interface Web via l’URL suivante: http://AdresseServeurNagios/nagios/pnp/

Voici un aperçu de l’interface:

 

Intégrer PNP à Nagios

Après installation on a donc deux interfaces Web distinctes: celle de Nagios et celle de PNP. Pour intégrer PNP dans Nagios, il faut utiliser les action_url.

 

Sous Nagios 3, c’est dans le fichier template.cfg qu’il faut faire les ajouts:

define host {
name nomdutemplatehost

action_url /nagios/pnp/index.php?host=$HOSTNAME$
}

define host {
name nomdutemplateservice

action_url /nagios/pnp/index.php?host=$HOSTNAME$&srv=$SERVICEDESC$
}

 

Une fois Nagios redémarré, une nouvelle icône ( ) devrait apparaître à coté des hosts et services concernés:

Vous avez donc maintenant un nouvel outil bien utile intégré à Nagios. Pour aller plus loin (notamment si vous souhaitez écrire vos propres templates), le mieux est de se rendre sur le site officiel de PNP.

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IMAP de Gmail et Apple Mail de Leopard

Mon compte Gmail vient d’être mis à jour avec l’apparition des nouvelles fonctions IMAP. Nous allons dans ce billet détailler la procédure pour configurer votre application Apple Mail version 3.0 (c’est à dire celle de Leopard) avec votre compte Gmail IMAP.

Gmail IMAP Mac

Avant de commencer un petit rappel sur le protocole IMAP. Contrairement à POP, le protocole IMAP laisse les messages sur le serveur, il est donc possible de consulter sa messagerie de manière synchronisé à partir de différents point (par exemple à partir d’un client sur votre Mac et d’un autre sur votre PC et enfin d’un dernier sur votre PDA). Il apporte également des fonctions comme la gestion des dossiers pour classer ces mails.

Procédure à suivre pour accéder à votre compte Gmail IMAP avec Apple Mail 3.0:

La première chose à faire est d’activer le protocole IMAP sur votre compte:

  • Connectez vous sur votre compte Gmail (http://www.gmail.com)
  • Cliquer sur Paramètre (en haut à droite)
  • Dans l’onglet General, choisir English (US) comme langue d’affichage de Gmail
  • Cliquer sur le bouton Enregistrer…
  • Cliquer sur Settings (en haut à droite)
  • Dans l’onglet Forward and POP/IMAP, cliquer sur le bouton Enable IMAP
  • Cliquer sur le bouton Save changes
  • Cliquer sur Settings (en haut à droite)
  • Dans l’onglet General, choisir Francais comme langue d’affichage de Gmail
  • Cliquer sur le bouton Save changes

PS: nous sommes obligé de passer l’interface en Anglais pour être sur de disposer de la dernière version (et donc des nouvelles fonctions) de Gmail.
La seconde étape consiste à configurer Apple Mail 3.0:

  • Ouvrir Apple Mail et cliquer sur le menu Mail/Préférences
  • Dans l’onglet Comptes, appuyer sur le bouton +
  • Saisir votre Nom / adresse Gmail et mot de passe Gmail et décoché la case « Configurer automatiquement le compte »
  • Changer l’adresse le type de compte en IMAP et l’adresse du serveur de réception en imap.gmail.com

La synchronisation initiale devrait prendre un peu de temps (selon le nombre de messages et la rapidité de votre liaison Internet), elle inclura les en-têtes de tous les messages ainsi que les dossiers que vous avez créé dans Gmail.

Et voilà le travail !

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Plugin QuickLook pour les répertoires

Les plugins pour Quick Look, la nouvelle fonction de Mac OS X permettant de voir les fichiers sans ouvrir les applications, commencent à arriver sur nos Mac. Un des lecteurs du blog m’a fait découvrir un d’entre eux: Folder Quick Look plugin. Il permet de voir le contenu d’un répertoire de manière bien plus agréable que la fonction par défaut proposée par Apple.

Quick Look Folder

Le plugin est écrit par un  japonais et les instructions d’installation sont en Anglais. Comme je suis de bonne humeur (on est vendredi), voici la procédure d’installation en Français:

  • Télécharger la dernière version du logiciel à partir du site officiel (c’est un fichier zip)
  • Dézipper  le fichier, un répertoire nommé Folder va être créé
  • A partir du Finder, allez dans le répertoire Mac HD / Bibliothèque / QuickLook
    PS: si le répertoire QuickLook n’existe pas, il faut le créer.
  • Copier alors  le fichier Folder.qlgenerator qui se trouve dans le répertoire Folder vers le répertoire QuickLook

Il ne reste plus qu’à tester en cliquant sur un répertoire dans le Finder et en appuyant sur la touche Espace pour lancer Quick Look. That all folk !

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MacFUSE et SSH

MacFuse vient d’être mis à jour pour Mac OS 10.5 (Leopard). Cette application permet, entre autre, de « monter » (mount) simplement un répertoire distant en utilisant le protocole sécurisé SSH. Il est donc possible de parcourir l’arborescence d’un disque distant simplement en ayant le port TCP/22 (SSH) ouvert entre les machines.

J’avais écris il y a quelque temps un post sur MacFusion, une interface graphique pour manager le couple MacFuse+SSH. Nous allons ici nous focaliser sur l’installation de MacFuse et du module SSHfs ans passer par cette interface graphique.

Téléchargement des logiciels

Il faut se rendre sur le site suivant et télécharger MacFuse et SSHFS.

Installation des logiciels

L’installation de MacFUSE comme celle de SSHfs sont triviales. Il suffit de suivre les wizards.

Exemple d’utilisation

Imaginons que l’on veuille parcourir le disque de la machine 192.168.29.1 se trouvant sur notre réseau. La première chose à vérifier est que cette machine dispose d’un serveur SSH (sshd sous Linux) et d’un compte (login/password).

Avant la première connexion, il faut ouvrir un terminal et lancer la commande suivante:

# ssh -2 root@192.168.29.1

Celle-ci va permettre de récupérer la clès de chiffrement qui sera utilisé entre les deux machines (cette opération est donc seulement à fair eune fois).

Ensuite, il suffit de lancer le programme SSHFS.app

Une fenêtre s’ouvre pour saisir l’adresse du serveur (IP ou nom host), le login et éventuellement le répertoire distant.

Puis le mot de passe correspondant à votre login.

Si le montage se passe sans probème, un nouveau volume devrait apparaitre dans le Finder:

Vous pouvez également vérifier que le montage s’est bien déroulé en tapant la commande suivante:

# mount

sshfs#root@192.168.29.1: on /Volumes/192.168.29.1 (fusefs, nodev, nosuid, synchronous, mounted by hennionn)

Il ne vous reste plus qu’a parcourir, copier, effacer… enfin faire ce que vous voulez sur le disque distant avant de démonter le disque (ALT-E ou par un copier glisser dans la corbeille du disque).

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Petite sélection de fonds d’écran

Quelques petits fonds d’écran pour égayer le bureau de vos Mac / Linux et Windows.



Sources: e-wallpapers / vladstudio / ndesign-studio