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Configuration de la pile IP Ubuntu en ligne de commande

Un petit mémo à usage général pour tout ceux qui, comme moi, ont besoin de configurer à distance via SSH (c’est à dire en ligne de commande) la pile IP d’une distribution Ubuntu (la procédure doit normalement être la même sous Debian).

Configuration de l’adresse IP, masque et passerelle

On commence par configurer le ou les interfaces réseau via le fichier /etc/network/interfaces.

La structure est simple, voici un exemple:

# Configuration de l’adresse de loopback

auto lo

iface lo inet loopback

# Interface coté Internet (en DHCP)

auto eth0

iface eth0 inet dhcp

# Interface coté LAN (statique)

auto eth1

iface eth1 inet static

address 192.168.1.1

netmask 255.255.255.0

gateway 192.168.1.254

Configuration des serveurs DNS

Si vous n’utilisez pas la configuration de vos serveurs DNS par DHCP, vous pouvez passer par le fichier /etc/resolv.conf. Ce dernier permet de configurer le nom du domaine et l’adresse des serveurs DNS.

search monbeaudomaine.com

nameserver 192.168.1.1

nameserver 208.67.219.99

On applique la configuration du réseau

/etc/init.d/networking restart

Voili, fin du pense bête…

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Open-source Systeme

Installation de VLC media player 0.9.2 sous Ubuntu

Pas encore disponible dans les repos Ubuntu, voici la procédure à suivre si vous voulez installer la dernière version de VLC media player sur votre PC Ubuntu (Hardy).

Installation de VLC media player 0.9.2 sous Ubuntu Hardy

Si nécessaire, on commence par dés-installer la précédente version en utilisant la commande suivante:

# sudo apt-get remove vlc

On doit ensuite ajouter une nouvelle entrée dans les repos. Pour cela, on clique sur « Système / Administration / Sources de logiciels ». On va dans l’onglet « Logiciels de tierces partie », puis on clique sur le bouton « Ajouter… ». On entre enfin la ligne suivante:

deb http://ppa.launchpad.net/c-korn/ubuntu hardy main

On ferme ensuite la fenêtre en cliquant sur le bouton « Fermer ».

On installe la dernière version avec la ligne suivante:

# sudo apt-get install vlc

Test de VLC media player

On lance le logiciel par le menu « Applications / Son et vidéo / Lecteur multimédia VLC ».

vlc092.jpg

et hop…

Source du billet: Tombuntu.com

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Screencast facile avec VLC media player

Dans les nouvelles fonctions présentes dans VLC media player 0.9.2, on peut noter la possibilité d’utiliser l’écran comme source de périphérique de capture (testé sous Linux et Mac, à voir sous Windows) . Un bon moyen de faire à moindre frais des screencast facile encoder en OGG/Theora…

Heu c’est quoi un screencast ?

Bonne question… Heureusement, Wikipedia est notre ami

Un screencast (aussi appelé capture vidéo de l’écran) est un enregistrement vidéo d’un écran d’ordinateur accompagné la plupart du temps d’une narration audio. Bien que le terme screencast ait été défini par Jon Udell en 2004, des outils permettant de faire une capture vidéo de l’écran existaient déjà en 1993 comme par exemple le logiciel Lotus ScreenCam. Les principaux inconvénients de ces anciens outils étaient la taille importante des fichiers qu’ils produisaient et leurs fonctionnalités assez limitées. Les produits les plus récents gèrent des formats de fichier de taille plus restreinte comme le Flash et possèdent des fonctionnalités plus élaborées comme le suivi du pointeur de la souris, et la narration audio.

De la même façon qu’une capture d’écran (screenshot) peut être vu comme une photo de ce que l’utilisateur voit à l’écran, la capture vidéo (screencast) peut être assimilé à un film de ce que l’utilisateur voit à l’écran.

Comment faire un screencast avec VLC media player ?

C’est très simple, il faut dans un premier temps lancer VLC media player (version 0.9.2 ou supérieure).

Lecteur multimédia VLC.jpg

Puis aller dans le menu Fichier / Ouvrir un périphérique de capture et sélectionner « Ecran » dans la liste.

Ouvrir un flux.jpg

Configurer le « frame rate » (nombre d’image par seconde) à adapter selon vos besoins. Attention plus celui-ci est élevé plus votre fichier vidéo sera gros.

Ouvrir un flux-1.jpg

Enfin on active le radio bouton « Diffusion/Sauvegarde » (1) et on passe à la configuration en cliquant sur le bouton « Paramètres » (2).

Ouvrir un flux-2.jpg

C’est dans cet écran que l’on va définir le fichier dans lequel le screencast sera stocké. On sélectionne d’abord le type de conteneur en sélectionnant Ogg (par exemple) dans le champ méthode. Puis on sélectionne le codec Theo dans l’option de transcodage vidéo. Enfin on sélectionne l’emplacement du fichier de sortie.

VLC.jpg

Le début du screencast démarre dès que l’on clique sur le bouton « Ok » suivant:

Ouvrir un flux-3.jpg

A la fin de votre screencast, il faut cliquer sur le bouton « Stop » pour arrêter la capture.

Lecteur multimédia VLC 2.jpg

Exemple de screencast

Voici un exemple de screencast.

VLC media player screencast

Quelques options complémentaires

Il est possible d’ajouter des options en modifiant la ligne de commande (ou la ligne Media Resource Localtor MRL).

–screen-caching <Entier>: Taille du cache pour les captures d’écran, en millisecondes.

–screen-fps <Flottant>: Débit d’images pour la capture.

–screen-top <Entier>: Ordonnée du sous-écran en haut à gauche.

–screen-left <Entier>: Abscisse du sous-écran en haut à gauche.

–screen-width <Entier>: Largeur du sous-écran

–screen-height <Entier>: Hauteur du sous-écran

–screen-follow-mouse, –no-screen-follow-mouse: Suivre la souris lors de la capture d’une partie de l’écran.

A vos screencast !

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Sortie de VLC media player 0.9.2

Enfin !

C’est le premier mot qui me vient à l’esprit suite à la sortie du seul et unique couteau suisse de la lecture de vidéos sous vos ordinateurs. Il a fallu de nombreux mois de gestation que sorte la nouvelle monture stable de VLC, j’ai nommé la version 0.9.2 !

Lecteur multimédia VLC.jpg

Il n’y a qu’a voir la fréquence des téléchargements depuis la publication de cette nouvelle version (plus de 6 téléchargements par seconde) pour voir l’engouement du public pour ce superbe logiciel open-source (GPL 2.0).

Au chapitre des nouveautés (la liste complète se trouve ici) que je trouve intéressantes:

  • une nouvelle interface pour les OS Windows et Linux
  • accès direct aux URL des sites Youtubes, DailyMotion…
  • support de Last.fm
  • de nouveaux codecs, filtres…
  • et surtout: le support des webcams iSign iSight dans la version Mac OS X (via device qtcapture) !!!!

Vive Videolan !

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Actualité open-source de la semaine #31

L’actualité open-source de la semaine…

L’image de la semaine

hivision-portable-nb0700.jpg
C’est en Chine et on ne peut pas dire que ce soit un canon de beauté…

Tout le monde en parle, sauf moi…

L’actualité du libre et de l’open source en vrac:

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Autoriser le FTP avec un firewall PF

Si comme moi, vous utilisé la couche PF (sous OS BSD) pour protéger votre réseau des attaques extérieures, la problématique de la compatibilité du protocole FTP avec la translation d’adresse NAT devrait se poser à vous.

Nous allons donc dans ce billet voir comment configurer votre Firewall PF comme un proxy FTP efficace.

Un peu de théorie…

Si vous avez déjà eu à coder des règles de Firewall pour le protocole FTP (actif ou passif), vous savez que cela nécessite l’ouverture d’un grand nombre de ports TCP. L’idée développé dans ce billet est de passer par un mandataire (un proxy hébérgé sur votre Firewall écoutant sur le port TCP 8021) qui va effectuer les requêtes FTP à la place de votre client.

FTP proxy - Nicolargo.png

Installation de ftp-proxy

ftp-proxy est un daemon fourni en standard avec les OS BSD. Pour le lancer au démarrage du Firewall, il faut ajouter les lignes suivantes à votre fichier /etc/rc.conf:

# FTP Proxy

ftpproxy_enable= »YES »

ftpproxy_flags= »-a @IP-PUBLIQUE« 

ou vous allez remplacer @IP-PUBLIQUE par l’adresse IP publique de votre Firewall. Il est possible de changer le port d’écoute par défaut de ftp-proxy en utilisant l’option -.

Pour lancer le daemon:

/etc/rc.d/ftp-proxy start

Configuration de PF pour utiliser ftp-proxy

La première chose est de configurer les règles de NAT et de PAT en utililisant les ancres pré-définies pour ftp-proxy. Pour cela, il faut ajouter les deux lignes suivantes dans la section NAT de votre fichier /etc/pf.conf.

nat-anchor « ftp-proxy/* »

rdr-anchor « ftp-proxy/* »

Nous allons ensuite forcer les paquets TCP de vos clients (venant de votre LAN) ayant comme port de destination 21 à être re-routé vers le daemon ftp-proxy qui écoute sur le port 8021.

rdr pass proto tcp from any to any port 21 -> 127.0.0.1 port 8021

Ensuite, on autorise dans la section règles de votre fichier /etc/pf.conf, les flux FTP partant de votre Firewall.

anchor « ftp-proxy/* »

pass out proto tcp from self to any port 21

Conclusion

Voici donc un moyen simple et efficace de gérer vos connections FTP sortantes. ftp-proxy peut également être utilisé pour gérer les accès entrants vers un serveur FTP hébergé sur votre réseau local. J’y reviendrai certainement dans un prochain billet.

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Actualité open-source de la semaine #30

L’actualité open-source de la semaine…

L’image de la semaine

dlpage_lg.jpg
Google tire une balle dans le pied de Firefox…

Tout le monde en parle, sauf moi…

L’actualité du libre et de l’open source en vrac:

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Actualité open-source de la semaine #29

L’actualité open-source de la semaine…

L’image de la semaine

Internet Explorer 8 arrive… je rappelle que le meilleur navigateur au monde
est libre, gratuit et s’appelle Firefox

Tout le monde en parle, sauf moi…

L’actualité du libre et de l’open source en vrac:

  • OpenArena, basée sur le moteur graphique de Quake III, est un FPS open-source.
  • La formule du jour: Ubuntu – « non GNU » = gNewSense
  • Des news de KDE 3.5 et Gnome 2.24
  • Et voilà ce qui arrive quand on met du Windows dans la station spatiale internationale…

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De IPFW à PF

istockphoto_143506_burning_fire_wall.jpgFidèle utilisateur de l’operating système FreeBSD pour toutes les fonctions réseaux (notamment les Firewall), je suis tombé il y a quelques temps sur un problème d’interopérabilité entre l’utilisation du couple CARP/PFSYNC (le truc pour faire de la redondance de Firewall) avec IPFW.

J’ai donc décidé de switcher de IPFW vers PF. Je vais donc abordé dans ce billet les quelques choses à avoir en tête si vous suivez le même chemin… Si vous souhaitez vous formez sur PF, je vous conseille la lecture de l’excellent article paru dans Linux Magazine HS n°29, dont vous trouverez une version électronique ici.

Un peu d’histoire

IPFW (IPFireWall) est un module logiciel permettant de faire du filtrage de paquets réseau sous BSD (c’est actuellement le module de firewall utilisé par défaut sous Mac OS X).

Jusqu’à la version 3.0 de OpenBSD, ce module était intégré par défaut au noyau du système, mais de sombres histoires de licences et de batailles interne entre Darren Reed (l’auteur de IPFW) et les développeurs d’OpenBSD ont débouché par son remplacement par PF (Packet Filter).

PF est maintenant fourni en standard sur l’OS FreeBSD (depuis la version 5.3).

Les principales différences entre IPFW et PF

Voici une liste non-exhaustive:

  • le fichier de configuration unique (/etc/pf.conf) comprend, la définition des règles (comme sous IPFW) mais aussi la configuration du NAT et du PAT (délégué au processus IPNAT avec IPFW)
  • comportement atomique du chargement de la configuration: si une erreur est détectée dans le fichier de configuration, aucune règle n’est appliquée
  • l’interprétation des règles est de type “last matching rules wins”: la dernière règle qui correspond au paquet est appliquée
  • le suivi de connexions complexes comme FTP se fait via un module externe (ftp-proxy)
  • il est possible de rediriger les paquets en fonction de l’OS émetteur (ne marche pas dans tout les cas de figures)
  • assure une compatibilité native avec CARP et PFSYNC pour faire de la redondance active de Firewall

Architecture du fichier de configuration /etc/pf.conf

Le fichier comporte plusieurs sections (l’ordre est important).

1) Définition des macros, listes et des tables

En plus des listes (comme sous IPFW), il est possible d’utiliser des tables pour stocker des adresses IP. L’avantage des tables par rapport aux listes est la rapidité d’accès à l’information. En effet, basées sur des tables de hachage, le temps pour accéder à une information est constant quel que soit la taille de la table. De plus il est possible de modifier dynamiquement ces tables (à l’aide de la commande “pfctl -t …”) sans avoir à recharger les règles.

Quelques exemples de macros:

Définition

ip_interne=”192.168.1.254”

ip_externe=”80.80.80.80”

Utilisation dans les règles

pass quick proto tcp from $ip_interne to any port 80

pass quick from $lan_interne to any keep state

Quelques exemples de listes:

Définition

lan_interne=”{ 192.168.1.0/24 192.168.2.0.24 }”

lan_interne_saufdmz=”{ 192.168.1.0/24 192.168.2.0.24 !192.168.2.0/29 }”

web_ports=”{ http https ftp }”

Utilisation dans les règles

pass quick from $lan_interne to any keep state

Quelques exemples de tables:

Définition

table <ip_clients> “{ 192.168.1.10 192.168.1.100 }”

Utilisation

pass quick from <ip_clients> to any keep state

Modification de la table

pfctl -t ip_clients -T add 192.168.1.101

pfctl -t ip_clients -T delete 192.168.1.101

2) Options et normalisation des paquets

Personnellement, j’utilise les options suivantes:

# On ne filtre pas sur l’interface locale

set skip on lo

# En cas de blocage, on envoie un RST sur les paquets TCP

# et UNREACHABLE sur les ICMP

set block-policy return

# On normalise les paquets avec gestion de la fragmentation

scrub in all fragment reassemble

3) Gestion des queues pour la QoS

Permet de faire de la qualité de service: CBQ, Priorité et HFSC. Il faut cependant passer par un module externe: altq.

Je reviendrai sûrement sur ces fonctions 12c4.

4) Translation d’adresse (NAT) et re-direction de ports (PAT)

Contrairement à IPFW qui ne gérait pas la translation d’adresse et de port (il fallait utiliser IPNAT), PF s’acquitte parfaitement de ces taches. La syntaxe est très proche de celle utilisée par IPNAT.

Exemple de NAT:

nat pass on eth0 from eth1:network to any -> $ip_externe

On notera l’utilisation de la macro eth1:network qui donne le réseau associé à l’interface réseau eth1

binat on $if_externe from 192.168.1.100 to any -> 80.80.80.81

Exemple de PAT:

rdr on $if_externe from any to $ip_externe port 8080 -> $ip_serveur port 80

5) Règles de filtrage

On entre (enfin ?) dans le vif du sujet avec l’adaptation des règles de IPFW vers PF.

La première chose à se rappeler est que l’interprétation des règles est de type “last matching rules wins”: la dernière règle qui correspond au paquet est appliquée. C’est le contraire de la logique que l’on suivait avec IPFW. Cependant, si comme moi vous avez du mal à réfléchir à l’envers, il reste la possibilité d’utiliser l’option quick. Quand cette dernière est présente dans une règle, PF arrête l’interprétation des règles suivantes.

L’option permettant de faire du suivi de connexion (sur TCP mais aussi sur UDP ou tout autre protocole IP) est “keep state” (attention c’était “keep-state” avec un – sous IPFW…). Cette option est maintenant ajouté par défaut sur les OS BSD (depuis OpenBSD 4.0 et FreeBSD 7.0).

Exemple de filtres:

pass in on $int_if from $internal_net to any

pass out on $ext_if proto tcp all modulate state flags S/SA

pass out on $ext_if proto { udp, icmp } all keep state

pass in on $ext_if inet proto tcp from any to $webserver port 80 flags S/SA synproxy state

Gestion de votre nouveau Firewall PF

La gestion de la configuration de votre Firewall PF se fait via l’utilitaire pfctl.

Quelques commandes utiles:

Vérification de la syntaxe du fichier /etc/pf.conf

pfctl -n -f /etc/pf.conf

Activation du filtrage:

pfctl -e

Dés-activation du filtrage:

pfctl -d

Rechargement des règles:

pfctl -f /etc/pf.conf

Affichage des règles de filtrage:

pfctl -s rules

Affichage des NAT et PAT:

pfctl -s nat

Affichage l’état des sessions existantes (connections):

pfctl -s state

Affichage du fichier de log (pour voir les paquets rejetés):

tcpdump -r /var/log/pflog

ou bien:

tcpdump -i pflog0 -qea -ttt

Conclusion

Je dois vous avouer que j’étais très réticent pour ce passage de IPFW et PF mais après quelques heures d’utilisations je pense que ce système de filtrage est très bon et aussi facile à administrer (en tout cas beaucoup plus simple que l’usine à gaz IPTABLES… je sais je troll…).

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Musique Open-source Web

Last.fm sous Ubuntu et Mac OS X

last-fm_audioscrobbler_logo.jpg

Last.fm est un service permettant de diffuser la liste des musiques que vous écoutez et de récupérer en échange des titres, des vidéos et des concerts collant au plus près à vos goûts. Il est donc possible d’écouter « une radio » ne passant que des chansons qui sont sensés vous plaire.

J’étais un peu septique, c’est pour cela que j’ai mis un certain pas à faire le grand saut… avec du recul, j’aurai dû le faire avant 🙂 En effet, Last.fm est convivial a utilisé et très pertinent dans ces propositions.

Dis, comment ça marche ?

C’est très simple, on commence par créer un compte sur le site puis on configure son lecteur audio pour qu’il diffuse ce qu’il joue sur votre base de donnée Last.fm (cela s’appelle « to scrobble »).

Sous Mac OS X, si vous utilisez iTunes, le plus simple est de télécharger le logiciel Last.fm qui va automatiquement « scrobbler » ce qui a été joué sur votre iTunes et même sur votre iPod ! Le logiciel dispose également d’un petit lecteur permettant d’écouter des musiques qui collent à vos goûts. Notamment la radio « Mes Recommandations », que j’écoute en boucle 🙂

Last.fm.jpg

Sous GNU/Linux et en particulier Ubuntu, tout dépend du logiciel que vous utiliser. La possibilité de « scrobbler » sur Last.fm est disponible sur la plupart des logiciels: Amarok, Banshee, SongBird… Je vous laisse trouver la procédure sur les sites correspondants.

Installation de Last.fm sous Ubuntu

Vous pouvez également installer le logiciel Last.fm assez simplement car il existe un dépôt Ubuntu. I suffit de suivre a procédure suivante:

wget -q http://apt.last.fm/last.fm.repo.gpg -O- | sudo apt-key add –

sudo vi /etc/apt/sources.list
# Ajouter la ligne suivante:
deb http://apt.last.fm/ debian stable

sudo apt-get update

sudo apt-get install lastfm

L’installation finie, le logiciel peut être lancé à partir du menu: Application / Son et vidéo / Last.fm

capture_200808264810.jpg

Et voila, il ne reste plus qu’a écouter et découvrir de nouveaux bijoux !

Vous pouvez consulter mon profile Last.fm à l’adresse suivante: http://www.lastfm.fr/user/nicolargo

N’hésitez pas à m’ajouter comme ami !